Alain Laboile, invité d’honneur, et sa Tribu
Social et enfance jeunesse. Il a été décidé la dissolution du CCAS (suite à la loi Nôtre). Les membres du CCAS poursuivront leurs actions dans la commission sociale. Un groupe de travail composé d’élus estimera l’action sociale et analysera les besoins sociaux, en abordant les nombreux thèmes suivants : l’emploi, l’habitat, le transport, la solidarité, le bénévolat, l’aide à domicile, les personnes isolées, la pauvreté, les animations jeunesse… Parallèlement, une commission composée de responsables associatifs et de bénévoles effectuera la même démarche. En termes d’action jeunesse, les jeunes élus préparent la réalisation d’une fresque et continuent ateliers bricolages pour Noël. Ils participeront au goûter des personnes de plus de 65 ans qui aura lieu le 22 juin et seront également présents à la journée Inter-CMJ du 29 juin, aux jardins de l’Aumônerie à Aizenay sur le thème, « jardiner au naturel ».
« Zoom à Beaufou » entame sa 15e édition, toujours avec des artistes photographes de renommée internationale, et prend de plus en plus d’ampleur. Une commission élargie composée d’élus et de non-élus, propose l’auteur ou la thématique de l’exposition. Après Mylène Zizzo « Effacés du monde » en 2014, c’est au tour d’Alain Laboile d’exposer ses clichés.
L’artiste proposera ses photographies sous le thème « La Tribu » : Il s’agit d’un reportage composé d’une trentaine de photos de format 40 par 70 cm et de 3 photos de grand format 120 sur 80 cm qui composent l’exposition de ce photographe et père de 6 enfants, Bordelais de naissance. Sculpteur à la base, il est arrivé par hasard à la photographie avec en 2004 l’acquisition d’un appareil photo numérique pour illustrer son activité. D’abord intéressé par la macrophotographie en amateur, motivé par une passion pour l’entomologie, il finit par braquer les objectifs de son appareil sur sa famille grandissante, qui deviendra par la suite son principal sujet. Débute alors pour ce passionné, une vie au bord du monde où se mêlent intemporalité et universalité de l’enfance.