Une mystérieuse agression à voir à Dompierre
La Génétouze. Festival L’air d’en rire : Arnaud Cosson «Oh la la…». «Jean-Guy est un trentenaire un peu spécial. C’est un «no-life». Dans son petit appartement, il nous libre ses états d’âme, ses secrets et anecdotes improbables, comme on partage un morceau de pain, sans retenue ni calculs. En attendant mieux. Samedi 8 octobre, 20 h 30, théâtre municipal. Tarifs : 15 €, réduit 18 €. Contact et réservation : 09 83 76 78 44, contact@airdenrire.fr, http://www.airdenrire.fr La Génétouze. Festival L’air d’en rire : Tremplin jeunes talents. Les futures pépites de l’humour, 5 jeunes humoristes en devenir, auront 20 minutes pour convaincre le public et le jury : Julie Villiers, Céline Groussard, Julien Santini, Sandra Colombo, BenH. Le vainqueur rejouera le lendemain en première partie d’Arnaud Cosson. Vendredi 7 octobre, 20 h 30, théâtre municipal. Tarifs : 12 €, réduit 15 €, majoration sur place. Contact et réservation : 09 83 76 78 44, contact@airdenrire.fr, www.airdenrire.fr
Samedi 8 octobre, le dernier film de Daniel Grasset, Une mystérieuse agression, sera projeté en avant-première, à Dompierre, avant de le voir concourir aux Journées Nationales de la Vidéo à Quimper.
Cette projection se fera en présence de tous les acteurs du film dont certaines scènes se déroulent sur la commune. Qui connaît, reconnaîtra aisément les rues de Bellevue et du Parreau, le salon du coiffeur Bernard Blanchard, la mairie, les étangs de Malvoisine… Ou encore le commissariat et la maison d’arrêt de la ville.
Suspens et émotion
Ce moyen-métrage de 58 minutes est tiré d’une fiction écrite par Magali Pouzole. Elle raconte les péripéties de Béatrice, qui tient un salon de coiffure près de La Roche et de sa fille Vanessa, une jeune lycéenne. Âgée de 17 ans, cette dernière est agressée dans un parc. Conduite au CHD, la jeune demoiselle se révèle amnésique. « Ce n’est pas un film policier mais la quête de deux femmes qui tentent de résoudre une énigme », explique Daniel Grasset qui a tenté de jouer sur le suspens et l’émotion jusqu’à l’issue finale.
Techniciens et acteurs
Devant et derrière la caméra, une douzaine de techniciens et 16 acteurs/actrices, issus des troupes théâtrales de Saint-André-d’Ornay et de Mouilleron.
Ce projet de longue haleine a démarré en 2013 et est un hommage rendu à Marie-France, son épouse qui, avant de disparaître, avait eu l’intuition « que l’histoire de Magali Pouzole pouvait constituer une belle idée de film. »