Etat d’esprit pour réussir son voyage
Encore une info ?
Sud avec de la belle viande et du bon vin rouge. C’est manger des langoustes à 0,70 euro pièce, rigoler devant une comédie sud africaine, regarder des matchs de rugby au pub, se faire contourner par deux énormes éléphants, randonner cinq jours en autonomie, dormir dans des huttes sur une côte sauvage et observer des loutres pêcher. C’est survoler le désert du Namib en avion, faire l’ascension matinale de la magnifique dune de sable rouge Big Daddy à Sossusvlei. C’est aussi être l’objet d’une charge d’intimidation d’un éléphant au petit-déjeuner, se tanquer dans un lit de rivière asséché sur fond de râle de lion au Zimbabwe. C’est fêter son anniversaire en rafting sur le Zambèze aux chutes Victoria en Zambie. C’est aussi se baigner dans les eaux cristallines du lac Malawi. C’est vivre des expériences indescriptibles dans les villages africains. C’est faire des balades intemporelles sur les îles d’anciens comptoirs coloniaux au Mozambique et déguster d’incroyables fruits de mer. Mais c’est aussi souffrir de la chaleur, s’ensabler et s’embourber mille et une fois, transpirer, avoir peur pour son véhicule, manger tout le temps la même chose. C’est aussi vivre avec des chimpanzés pendant une heure dans une forêt tropicale, vivre au rythme lent et relaxant dans un train en Tanzanie. C’est passer une nuit sur le cratère du volcan Nyiragongo en RDC avec une vue époustouflante sur son lac de lave. C’est aussi se trouver au milieu d’une centaine de singes colobes noir et blanc au Rwanda, voir des lions en Ouganda, découvrir les tribus samburu du nord du Kenya, assister à un match de foot turbul e n t a u s t a d e p r i n c i p a l d ’ Ad d i s e n Ethiopie. Puis c’est prendre la décision de rentrer et de mettre fin à notre voyage. Mais avant cela, c’est profiter du désert soudanais pour se doucher en plein air sous une voûte étoilée spectaculaire. C’est savoir s’orienter rien qu’en regardant le ciel. C’est aller au-delà des préjugés et sympathiser avec des camionneurs irakiens et syriens exceptionnels en Egypte. C’est mieux comprendre le Moyen-Orient. C’est enfin s’allonger sur le pont d’un cargo naviguant en pleine mer sous les étoiles et franchir la frontière française... A vous lecteur camping-cariste, je souhaite du courage, que vous fassiez preuve d’optimisme et entrepreniez la logistique de votre voyage avec simplicité. Dans nos épreuves à l’autre bout du monde, nous avons toujours trouvé une solution. Je vous encourage à la curiosité et à la découverte. Il n’est trop tard que pour ceux qui nous ont quittés. Les freins n’existent que dans votre esprit. Alors soyez audacieux et foncez. Parcourez les routes de France et d’Europe en gardant les yeux d’un enfant. Offrez aux autres un sourire sans attendre d’en recevoir. En vous ouvrant, vous découvrirez un univers de bonté et de spontanéité insoupçonné. Etre un aventurier n’est pas une question de moyens ni d’exploits. C’est un état d’esprit dont la clef de voûte est la capacité de s’émerveiller de petites choses. Mathilde et Antoine seront heureux de vous aider à franchir des caps. Vous pouvez les contacter sur leur site Internet www.pavtour.weebly.com ou leur page (www.facebook.com/pavtour) Si vous souhaitez être “rassuré” et gagné par l’enthousiasme naturel de Mathilde, abonnez-vous à sa chaîne Youtube (www.youtube.com/mathildepavillon)