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dans deux demi-boîtes bénéficiant chacune d’un embrayage de taille différente permettant un montage concentrique. En phase d’accélération, le rapport supérieur au rapport engagé est ainsi présélectionné et se trouve engagé instantanément au passage de relais entre les deux embrayages. Il en résulte des passages réalisés en quelques fractions de seconde sans aucune rupture de charge. En phase de décélération, c’est le rapport inférieur qui est présélectionné et le passage d’un rapport à l’autre est tout aussi imperceptible. C’est Volkswagen qui a popularisé ce type de boîte, la baptisant DSG (Direct Shift Gearbox). Elle est apparue sur la Golf de quatrième génération en 2003 avant d’être rapidement étendue à toutes les marques du groupe, jusqu’à Audi (S tronic) et Porsche (PDK). En raison de leur relative complexité, les boîtes à double embrayage ont rencontré des problèmes de fiabilité à leurs débuts et leur coût d’entretien/réparation est potentiellement élevé, mais leur agrément d ’ u t i l i s a t i o n e s t t e l qu’elles se répandent toujours plus. L’emblématique Transporter propose donc lui aussi cette boîte DSG dans une version à 7 vitesses, mais notez que le format supérieur chez Volkswagen, le Crafter, adopte pour sa part une boîte automatique 8 rapports à convertisseur, ce qui n’est pas mal non plus. Enfin, Renault propose aussi une boîte à double embrayage