Pour un vaste programme de privatisations
Sans honte, ni fausse pudeur
Sans doute l’État considère-t-il aujourd’hui qu’il n’est pas compétent pour gérer une entreprise de chemins de fer, surtout au vu des résultats et des difficultés de celle-ci, ou qu’il n’est pas de son ressort de produire de l’électricité, dont l’entreprise publique qui en avait le monopole ne cesse de perdre des parts de marché...