Le nouvel Economiste fête son 2 000e numéro
2000 numéros, et plus de quarante ans d’analyses, enquêtes et dossiers pour décrypter les mutations d’un monde économique et professionnel en perpétuel mouvement. Réforme du capitalisme, critique du libéralisme, redéfinition du rôle de l’entreprise, antagonismes générationnels… ces débats actuels signent la raison d’être très particulière du nouvel Economiste.
Ce journal traite de l’économie parce que “tout est économique”. Mais pas seulement. Sa transversalité, du politique jusqu’au sociétal, offre cette fameuse vision d’ensemble des grands enjeux à laquelle aspire tout responsable au coeur des entreprises et des affaires publiques...
2000
numéros, et plus de quarante ans d’analyses, enquêtes et dossiers pour décrypter les mutations d’un monde économique et professionnel en perpétuel mouvement. Réforme du capitalisme, critique du libéralisme, redéfinition du rôle de l’entreprise, antagonismes générationnels… ces débats actuels signent la raison d’être très particulière du nouvel Economiste. Ce journal traite de l’économie parce que “tout est économique”. Mais pas seulement. Sa transversalité, du politique jusqu’au sociétal, offre cette fameuse vision d’ensemble des grands enjeux à laquelle aspire tout responsable au coeur des entreprises et des affaires publiques. Sa verticalité permet à chacun dans son secteur, son domaine ou sa fonction, de suivre de près les innovations de rupture, les nouveaux métiers, produits et services qui font le quotidien d’une vie professionnelle. Ce journal s’inscrit plus que jamais dans la tradition du “long form journalism”, en se donnant du temps et de l’espace pour “simplexifier” les sujets. Et reste résolument tourné vers l’international en s’appuyant sur la puissance de sa syndication avec le Financial Times et The Economist.
Ce 2000e numéro signe la résilience exceptionnelle d’un hebdomadaire et d’une marque qui ont su traverser avec succès la crise darwinienne de la presse, au prix d’une profonde transformation digitale.
Ce 2000e numéro est donc l’occasion de souhaiter à chacun de nos 274 000 lecteurs réguliers le meilleur en 2020.