Vincent Silveira primé
Sorti au début du mois de juillet, «Par-delà le rejet et l’oubli», la fiction historique du Pontellois Vincent Silveira, vient d’être récompensée au salon du livre d’Allevardles-bains (Isère).
« Divertir le lecteur et lui
apprendre des choses ». Voilà ce que veut Vincent Silveira quand il écrit un roman. Cet ancien professeur de mathématiques aujourd’hui à la retraite à déjà publié trois ouvrages mêlant l’aventure et l’histoire. Par-delà
le rejet et l’oubli, le dernier en date, dont nous vous avions parlé cet été (voir le Pays Briard du 19 juillet N.D.R.L) était présenté le week-end dernier au salon du livre d’Allevard-les-Bains, dans l’Isère.
Reconnaissance
« Le comité de lecture a sélectionné mon livre, nous étions une trentaine d’auteurs invités pour l’occasion »,
détaille le Pontellois-Combalusien. Sur place, Vincent Silveira a pu discuter avec des amateurs de lecture. « Pour moi, le plus difficile ce n’est pas de vendre le livre, mais le contact avec les
lecteurs potentiels », s’amuset-il. Il a finalement décroché le prix du salon dans la catégorie roman historique « Le livre est sorti le 2 juillet, j’espère qu’il trouvera son public, j’attends les retours », explique l’auteur déjà satisfait par cette marque de reconnaissance.
« Il ne faut pas s’arrêter au titre ou à l’évocation des noms des personnages, note
il. Je comprends que ça puisse rebuter les lecteurs qui ne sont pas forcément passionnés d’histoire. Mais Par-delà
le rejet et l’oubli c’est d’abord une fiction, une aventure. »
« Les idées sont toujours là »
Édité pour la troisième fois aux éditions de l’Harmattan, l’ancien enseignant va poursuivre
la promotion : « Le livre est référencé, on peut le trouver sur internet. Hormis mes lecteurs habituels, je suis en contact avec des librairies à Paris pour organiser des présentations. » Vincent Silveira pense déjà à la suite « les idées sont toujours là même quand le travail d’écriture n’est pas achevé ». L’histoire est pour lui un réservoir d’inspiration inépuisable « je lis beaucoup de livres historiques et ce depuis tout petit ». L’auteur conclut malicieux : « Maintenant que je suis à la retraite j’ai tout mon temps ! »