La carte scolaire se dessine
Les écoliers de Courpalay et La Chapelle-Iger ne sont pas les seuls à être menacés d’une fermeture de classe (lire ci-dessous). Après le Conseil départemental de l’Éducation nationale (CDEN) qui s’est tenu en préfecture jeudi 2 mars, les mesures de la carte scolaire du premier degré en Seine-etMarne ont été dévoilées.
L’école élémentaire Paul Langevin doit perdre une classe («fermeture définitive»), idem pour la maternelle («fermeture révisable»). La même menace planait sur cette école en 2016 après celle - annulée finalement - de l’école Jules-Ferry l’année d’avant.
De son côté, l’école élémentaire Maurice-André à Preslesen-Brie est aussi menacée («fermeture révisable»).
La situation est inverse à l’école élémentaire Jean-Jaurès de Verneuil-l’Étang avec une «fermeture définitive».
Gretz, Ozoir, Pontcarré et Villeneuve
À Gretz-Armainvilliers, l’école élémentaire GeorgesTravers est classée dans la catégorie «ouverture conditionnelle» alors que l’élémentaire Belle-Croix d’Ozoir-la-Ferrière écope du statut «fermeture révisable».
Pour ce qui est de l’école élémentaire Louis-Mazet de Pontcarré, elle bénéficie d’une «ouverture définitive».
À Villeneuve-le-Comte, l’école primaire est quant à elle classée en «fermeture révisable».
Pontault et Roissy
Deux «fermetures définitives» sont prévues aux écoles élémentaires Émile-Pajot et Marcel-Pagnol à PontaultCombault. Dans la même ville, la situation est différente pour les écoles suivantes : maternelle Château Candalle («ouverture conditionnelle»), maternelle Pablo-Neruda («fermeture révisable») et élémentaire Marginea («ouverture conditionnelle»).
Enfin, l’école élémentaire Jules-Verne, à Roissy-en-Brie, est classée en «fermeture définitive», tandis que l’élémentaire Michel-Grillard et la maternelle Les Sapins s’accrochent à une «fermeture révisable».