Le Pays Briard

La Ville prête des tableaux pour l’expo Massé présentée à Meaux

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L’exposition se tiendra jusqu’au 13 août. L’associatio­n Guetteurs d’Art, en partenaria­t avec la Ville de Meaux, annonce cette exposition temporaire au Musée Bossuet qui rendra hommage au peintre meldois Jean Eugène Julien Massé, du 19 mai au 20 août.

« Sa longue carrière est liée au Salon des Artistes Français où l’on pouvait découvrir ses meilleurs tableaux mais c’est la première fois qu’une exposition d’une centaine d’oeuvres lui sera exclusivem­ent consacrée » indique dans la plaquette de présentati­on le président Michel Greuzat. Il poursuit : « digne héritier des grands maîtres du paysage moderne, Corot et Daubigny, il méritait d’être enfin honoré dans sa ville de naissance et apprécié à la hauteur de son talent. »

Jean Eugène Julien Massé est né à Meaux le 9 novembre 1 856, rue du Marché où son père tient une quincaille­rie. Il est décédé à Luzancy en 1950 où il est enterré.

Dans son ouvrage

Noël Coret rapporte que l’artiste a offert une de ses toiles à un autre imagier de la vallée de la Marne, Fernand Pinal de Charly-sur-Marne.

« Il était temps qu’il puisse être apprécié à la hauteur de son talent dans sa ville natale où il est malheureus­ement trop méconnu. L’exposition­hommage qui l’honorera de mi-mai à fin août au Musée Bossuet permettra de réparer cette injustice, sachant qu’à ce jour Massé n’avait jamais bénéficié d’une exposition qui lui était exclusivem­ent consacrée » conclut Bernard Doumayrou de l’associatio­n Guetteurs d’Art.

La Ville de La Ferté-sousJouarr­e participe à cette exposition de qualité qui met enfin en lumière cet artiste de chez nous, élève et ami de Corot à travers cette exposition consacrée au peintre de paysage Jean Julien Massé.

Beaucoup de public, comme chaque année, à la cérémonie commémorat­ive du 8 mai 1945. Tout le monde se regroupe devant le monument aux morts, sur le parvis de l’église et pour ce 8 mai, les enfants de l’école étaient présents en nombre, accompagné­s par leur directrice. C’était leur surprise : l’interpréta­tion du Le maire, soucieux de toujours replacer les événements dans le cours de l’histoire a rappelé que ce chant appelé aussi de la Libération, a été l’hymne de la Résistance française durant l’occupation par l’Allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre

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