Saint-Domineuc organise une action pour le Téléthon cette année
Les 1er, 2 et 3 décembre, la commune de SaintDomineuc organise de nouveau son Téléthon, en accord avec les associations locales.
« D’habitude, notre commune organise le Téléthon tous les deux ans. C’est donc Tinténiac qui doit l’organiser cette année. C’est une volonté des associations de SaintDomineuc que de faire aussi quelque chose », explique Michel Vannier, adjoint au maire en charge de la vie associative.
Une vingtaine d’animations
La manifestation s’étendra sur plusieurs sites. Une vingtaine d’animations sont prévues. D’autres pourraient se greffer à ce programme.
Tout d’abord, un concours de belote organisé par le Club du sourire jeudi 1er décembre. Vendredi 2 décembre, un repas avec la soirée dansante sera proposée par le Cyclo club. De son côté, l’UBL avait organisé un concours de pétanque en octobre, la somme des engagements étant reversée au profit du Téléthon.
Samedi 3 décembre sera la journée phare de l’événement avec de nombreuses activités sportives, culturelles et loisirs (zumba et Piloxing party, marches et randonnées diverses, ventes d’objet et confiseries, journées portes ouvertes de différents clubs sportifs…). « Nous avons besoin de bénévoles, même si nous avons la chance d’en avoir en nombre sur SaintDomineuc, et des idées », souligne Michel Vannier.
Mardi 29 novembre, la compagnie Primitif propose « Ebandeli », un spectacle inspiré du hip-hop et du Parkour, signifiant art du déplacement, adaptation à son environnement. Deux représentations auront lieu à l’Espace culturel Le Grand Clos de Saint-Dominuec, à l’occasion du Festival Vortex, organisé par la Cie Ladainha.
Pour la compagnie rennaise Primitif, la danse est un art de vie, le « parkour » est un art du déplacement. Cette association crée un cocktail détonnant et l’environnement devient alors un moyen d’expression où la créativité et l’adaptation sont constantes. Au commencement, dans les arbres puis aujourd’hui dans la rue et sur les toits, l’homme s’approprie les espaces qu’il crée. Pourquoi se contenter d’aller uniquement là où la société veut que nous allions ?, interroge Primitif.