Un bon cru à 5 500 € et des ambitions pour 2017
Parce qu’à la clé il y a un voyage à Portsmouth en Angleterre au mois d’avril prochain, les jeunes de l’Ado sphère multiplient les initiatives pour y répondre financièrement. Hugo, Vincent, Erwan, Angelina et Mathias se sont installés sur la place de la mairie pour proposer à la vente des compositions florales de leurs créations qui viendront agrémenter les tables des fêtes de fin d’année.
« L’édition 2017 se révèle être un aussi bon cru que celle de l’an passé » avance satisfait François Guéguen, l’élu en charge des associations et responsable de l’organisation du Téléthon 2016.
Les partenaires habituels « ont, cette année encore, fait preuve de réactivité et de générosité, ce qui a permis de bénéficier de différents lieux d’accueil, de mettre en oeuvre des animations, des défis solidaires et de collecter des fonds. »
Une forte participation des écoles
Dans l’inventaire des satisfactions, il y a la fidélité de l’adhésion fidèle de l’école publique Robert Lossois et de l’école privée Sainte-Anne. « Ce qui explique une participation et une collecte constante d’année en année. » Ce sont 180 enfants qui ont vendu leurs temps individuels à leurs proches. Temps individuels que Dominique Sellès, organisatrice de la course, a dû limiter « certains d’entre eux étaient prêts à courir 45 minutes. » Une participation jusque dans la salle de motricité de l’école publique transformée en piste de course pour les maternelles qui ont couru jusqu’à 5 minutes.
Autre instant de contentement « une quinzaine de parents ont joué le jeu et sont venus encourager leurs enfants. On a même vu un papa courir avec son fils », ajoute Dominique Sellès. Voilà de quoi saluer, pour François Guéguen, « l’investissement des équipes pédagogiques. »
Des ajustements et des nouveautés pour 2017
Chaque édition apporte son enseignement et l’élu se penche déjà sur celle de 2017 « la dixième pour Saint-Jouan ». Il souhaite passer à la vitesse supérieure. « Nous voulons dynamiser le Téléthon à Saint-Jouan, augmenter sa fréquentation, proposer de nouvelles animations et de nouveaux défis. Des actions méritent d’être ajustées quand d’autres sont à garder. Par exemple, le marché solidaire du samedi matin n’a pas connu la fréquentation que nous espérions, malgré un engagement fort des bénévoles. À l’inverse, le repas du samedi a bien fonctionné, les gens présents étaient là pour faire la fête ! »