Déplacement délicat à Bouguenais
As-tu un surnom ?
Air Maroc. Pourquoi ? J’ai du « Jump » et des origines marocaines.
Peux-tu te décrire en trois mots ?
Cool, Cool et Cool.
Le dernier livre que tu as lu ?
Blitz - Voyage dans le temps pendant la 2nde guerre mondiale.
Ton plat préféré ?
Les joues de porc de Beaupapa !
Où as-t’on le plus de chance de te croiser ?
Chez moi, au boulot ou à la salle.
Quel personnage de fiction aimerais-tu être ?
Chuck Norris. Je sais que ce n’est pas un personnage de fiction, mais il fallait absolument que je le place.
Seul sur une île déserte qu’emmènes-tu ?
Une bonne bière bien fraîche.
Que fais-tu si tu gagnes un million d’euros ?
J’arrête de bosser et j’en donne un peu à mes proches.
As-tu une superstition, un rituel avant de débuter un match ?
Ce n’est pas un rituel mais plutôt une certaine routine d’avant match qui s’est installée depuis plusieurs années. Je fais attention la veille du match, je ne me couche pas trop tard.
Ton plus beau souvenir sportif ?
C’était un match à SaintBrieuc pour la montée en Nationale 3 avec un bus entier de sup- porters malouins qui avait fait le déplacement. Une ambiance de feu dans le stade et une victoire de 40 points…
Le plus mauvais ?
La descente en Ligue 1.
Si on te propose de jouer dans n’importe quel club, où irais-tu ?
Je pars au states !
Où n’irais-tu jamais ?
À Miniac-Morvan (Rire). Ils s’entraînent avec nous, il fallait bien que je parle d’eux.
Avec quel joueur rêves-tu de jouer ?
Mon rêve est déjà réalisé, Florian Peltier.
Un mot pour décrire ton club ?
Convivialité.
Dis-nous à quoi tu penses quand tu fais un Air Ball ?
Je pense directement à « La crotte d’or ». C’est le prix décerné à celui qui réalise l’action la plus ridicule du match. Si tu gagnes la crotte d’or, c’est toi qui paie le pack de bière ! Je dois avouer que j’ai déjà dû payer plusieurs fois le pack à mes coéquipiers.
Dans le vestiaire, qui est le plus chambreur ?
Il n’y a pas forcement de joueur qui tire son épingle du jeu à ce sujet. Tout le monde aime se taquiner. Certains le font plus que d’autres c’est sûr mais c’est toujours dans la bonne humeur.
Lequel est meilleur pour mettre des mains au panier plutôt que des ballons dans le panier ?
Et encore une fois… Florian Peltier. Je ne peux pas en dire plus. J’aurai pourtant pas mal d’anecdotes à raconter mais
À qui donnerais-tu le brassard de capitaine pour la troisième mi-temps ?
Alors là il y a une égalité parfaite entre Clément Fasquelle et Florian Peltier.
Pour finir, quelle est ta devise dans la vie ?
Ne fais jamais aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse.
La reprise du championnat est difficile pour les handballeurs malouins qui se sont de nouveau inclinés samedi dernier dans leur salle face à Saint-Ouen l’Aumône sur le score de 24 à 31. Une défaite somme toute logique lorsque l’on observe la physionomie du match entre ces deux formations aux objectifs diamétralement opposés.
La marche était trop haute
« Nous venons de perdre contre l’une des plus belles équipes du groupe… Si ce n’est la plus belle » , concédait Pierrick Veyrat à l’issue de la rencontre. Comme la semaine passée, le technicien malouin regrettait surtout le manque de réussite de son équipe face au but et le déchet technique trop important de ses joueurs pour pouvoir rivaliser avec un des ténors du championnat. « Notre objectif était de couper leur jeu rapide et de les empêcher de développer leurs attaques placées, ce que nous avons très bien réussi à faire en première mi-temps. Malheureusement nous avons raté beaucoup trop de shoots et perdu beaucoup trop de balles pour pouvoir fructifier notre bon travail défensif ».
Ce week-end, pour la première journée de la phase retour, les verts et jaunes se déplacent à Bouguenais actuellement 5e au classement. Une équipe qui avait souffert au Naye au match aller avant de s’imposer aux forceps 23 - 26. « Nous leur avions tenu la dragée haute pendant 45 minutes avant de nous écrouler en milieu de seconde période », rappelle l’entraîneur du CJF qui verra de nouveau sa formation amputée de plusieurs éléments pour ce déplacement en Loire-Atlantique.
« Entre les joueurs qui partent en vacances et les blessés de longue date, je ne sais pas encore qui sera présent samedi. De toute manière, il va falloir une nouvelle fois serrer les dents car Bouguenais est une équipe qui court beaucoup et qui est capable de défendre très haut comme très bas ». En résumé, c’est un nouveau match compliqué qui attend les partenaires de Julien Carrier samedi soir. Mais ne nous le cachons pas, jusquelà fin de la saison, ils le seront tous.