Le Pays Malouin

Diego N. Valenzuela

Expatrié en Loire-Atlantique pour raisons profession­nelles, Diego Navarro Valenzuela, ancien joueur du CJF Saint-Malo Handball actuelleme­nt sur le flanc, revient sur ses années malouines à travers nos questions décalées…

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As-tu un surnom ?

La Dieg ou saucisse. Malheureus­ement je n’ai pas choisi…

Peux-tu te décrire en trois mots ?

Trois mots ce n’est pas beaucoup pour une personne comme moi… Mais je dirais : Bandeau, Espagnol et Culturiste.

Le dernier livre que tu as lu ?

« Vouloir toucher les étoiles » de Mike Horn. Sinon en ce moment je lis « Quand j’étais Superman » de Raphael Poulain, j’ai vraiment l’impression de lire l’histoire de ma vie, merci Porci. (Rire)

Ton plat préféré ?

Sûrement pas la trilogie de foie gras de Pierrick Veyrat.

Où as-t’on le plus de chance de te croiser ?

En ce moment, ligaments croisés obligent, dans mon canapé en train de jouer à Fifa.

De ne pas te croiser ?

Je suis un citoyen du monde, potentiell­ement je peux être partout.

Ton dernier SMS ?

« Je pense être prêt dans 20 minutes ». SMS destiné à ma copine pour qu’elle vienne me chercher à la sortie du Kiné ! C’est beau l’amour et le romantisme…

Quel personnage de fiction aimerais-tu être ?

Porcinet, j’aime bien sa façon de parler, il me fait penser à un pote handballeu­r.

Quel animal être ?

Un goéland pour me soulager sur les touristes envahissan­ts et les personnes que je n’aime pas…

aimerais-tu

Si tu pouvais dîner en tête à tête avec n’importe qui ?

Avec Alberto Entrerrios, on pourrait parler hand en espagnol entre profession­nels comme ça ! (Rire)

As-tu une superstiti­on, un rituel avant de débuter un match ?

Viande blanche et pâtes, un boxer propre et pas troué, une genouillèr­e, une chevillère, un peu de baume Saint-Bernard, 3 - 4 tapes bien viriles sur le torse et c’est parti pour le combat.

Un mot pour décrire ton ancien club ?

Coeur… C’est mon club de coeur !

Si on te propose de jouer dans n’importe quel club, où irais-tu ?

Au CAI Zaragoza Balonmano ou un retour au CJF Saint-Malo.

Ou n’irais-tu jamais ? Ne jamais dire jamais.

Avec quel joueur rêves-tu de jouer ?

Alberto Entrerrios. Ca me ferait rêver aussi de rejouer avec Julien Carrier, Pierre Chérensky, Benoit Gombeau, Pierre Morel, Pierre Fougères, Stéphane Ouali, Quentin Joumel… Ah, j’allais oublier Guillaume Biet et Amaël Desmartin, mais ça, ce n’est pas un rêve c’est une chimère…

À qui comparerai­s-tu ton ancien coach ?

À jean Claude Duss, la victoire peut passer sur un malentendu…

Un mot ou une phrase qu’il répète souvent ?

Connard, enculé, fils de poireaux… Et divers autres noms d’oiseaux…

Il est meilleur dans les buts ou sur le banc ?

Au bar…

Entre un resto avec Miss France et la finale de la prochaine coupe du monde ?

La finale ! Je laisse le resto à Quentin Joumel, pour une fois il sera obligé de payer.

Dans le vestiaire, qui est le plus chambreur ?

Julien Carrier, il n’arrête pas. Surtout quand il est en chaleur dans les buts.

Lequel se prend pour la star de l’équipe ?

Quentin Joumel, il adore se regarder, c’est limite s’il ne se recoiffe pas à la mi-temps.

Qui est ?

Si j’étais encore au CJF je me serais désigné… Je vais dire Stéphane Ouali mais il compense tout avec son physique horsnorme. #coeurcoeur

le moins technique

À qui confierais-tu le brassard de capitaine pour la troisième mi-temps ?

Mouton, Le Gall, Joumel, Ouali. Le quatuor toujours fourré à l’Escalier… Impossible d’en sortir un du lot.

Un truc à rajouter ?

Bon courage à mes anciens partenaire­s pour leur deuxième partie de saison, j’espère de tout coeur que vous allez vous maintenir, vous le méritez.

La Ronde du printemps s’est déroulée le dimanche 19 mars sur le difficile parcours tracé autour de Plancoët (22). Sur cette épreuve réputée, Briac Thebault a montré qu’il avait réussi son passage chez les juniors : après avoir pris la bonne échappée de 7 coureurs après 80 km de course, il prend une très belle 2e place au terme d’un sprint à 4, devant tous les favoris du jour. De bon augure pour le reste de la saison et les prochaines sélections possibles en équipe régionale.

Pour sa 1ère saison chez les juniors, Célia Le Mouel participai­t le 19 mars en Italie à la 1ère manche de coupe du monde sous les couleurs de l’équipe de France. Elle a parfaiteme­nt accompli la mission qui lui était confiée puisqu’elle termine dans le groupe de tête qui s’est disputé la victoire après avoir placé sa coéquipièr­e et lui permettre de prendre la 2e place.

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