Le Pays Malouin

Morgane et Vanessa

Morgane Anger et Vanessa Mazel, rugbywomen, s’affrontent dans notre bras de fer hebdomadai­re.

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Son surnom ? MA : Fifi. VM : Momo.

Trois mots pour la décrire ? MA : Attachante, souriante et un peu folle.

VM : Veni, vidi, vici. venu, j’ai vu, j’ai vaincu. Je suis

Sa principale qualité ? MA : Sa générosité. VM : Sa générosité.

Son principal défaut ? MA : Son langage et son écriture. On lui a même dédié un dialecte qu’on nomme le fifinois.

VM : La ponctualit­é.

Son selfie rêvé ? MA : Avec Denis Brogniart de Koh-Lanta !

VM : Sous la douche avec les All Blacks.

Sa passion inavouable ? MA : La glace, le chocolat, les tartes citron… Les desserts quoi !

VM : L’aqua-poney.

La chanson qui reflète sa personnali­té ?

MA : Femme de Jean-Luc Lahaye.

VM : Ne la laisse pas tomber.

L’endroit où nous avons le plus de chance de la croiser ?

MA : Au Nouveau Nez à Combourg ! Quoi ? Elle aime l’apéro ?

VM : Au Nouveau Nez à Combourg !

Et de ne pas la croiser ? MA : A la bibliothèq­ue. VM : Chez elle ou toujours en vadrouille.

Le personnage de fiction auquel tu la comparerai­s ?

MA : Baloo dans Le livre de la jungle ! Nous sommes des grandes enfants et « il en faut peu pour être heureux » est sa philosophi­e de vie.

VM : Susan Delfino de Desperate Housewives. Toujours là pour aider mais tête en l’air !

La personne avec laquelle elle aimerait dîner en tête à tête ?

MA : Personne ne la fait plus rêver que son mari, même Georges Clooney.

VM : Maëlan, son homme.

Son rituel d’avant match ? MA : Rigoler. VM : Faire pipi. Au moins dix fois.

Son plus beau souvenir sportif ?

MA : Notre complicité sur le terrain.

VM : Notre premier tournoi. On gagne avec une équipe en carton !

Le plus mauvais ? MA : Quand on lui interdit de rire et parler pendant un entraîneme­nt.

VM : Quand sa cheville a craqué… Au moins elle a pu réviser son bac.

Le club qu’elle choisirait si on lui proposait de jouer où elle veut ?

MA : Nulle part ! Elle a notre club dans le sang.

VM : Le Stade Rennais pour retrouver ses anciennes coéquipièr­es.

Elle pourrait poser un lapin à son partenaire pour… ?

MA : Une tarte au citron avec moi.

VM : Aller boire un verre entre copine.

La coéquipièr­e qu’elle rêverait de pouvoir plaquer à l’entraîneme­nt ?

MA : Moi ! Elle n’y arrivera jamais. Défi ?

VM : Plutôt notre ancien prof de sport, Mathias.

Ce que tu lui dirais si tu étais son coach ?

MA : Enlève ta charrette et cours !

VM : Arrête de discuter et cours !

Ce que tu lui dirais si elle t’annonçait qu’elle arrête le rugby ?

MA : Qu’il me manquera mon bras droit sur le terrain. Notre complicité est telle qu’on sait systématiq­uement ce que l’autre va faire sans avoir besoin de se parler. Ca ne sera plus jamais pareil sans elle.

VM : Non, tu n’as pas le droit de me faire ça, fausse pote !

Deux points de retard dans le temps additionne­l, la voilà en position pour tenter un drop, tu y crois ?

MA : Si elle ferme les yeux oui !

VM : Même pas en rêve.

Une anecdote ? MA : Le contraste entre son protège-dents et ses tenues de sport ! Elle a un protège-dents avec des dents de vampires et ses tenues sont toujours plus roses les unes que les autres !

VM : Dernier match, elle me regarde et me dit « cours ». Je comprends qu’elle va taper au pied et part comme une folle. Sauf qu’elle tape à côté du ballon. L’adversaire le récupère et marque l’essai. Merci Momo.

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