Le Festival international de musique a son public de connaisseur
Cette pièce rare, du fait de sa couleur particulière causée par une anomalie génétique, a été pêchée par Patrick Courtois, matelot à la SNSM. Il s’agit d’un homard femelle bleu de 1kilo 710, âgée de plus de 25 ans. Il a été pêché mardi 15 août, en baie de Dinard et a trouvé refuge à la Gonelle chez Jacques de Ribeaucourt au Bec de la Vallée. Mercredi 16 août, un cours de Zumba était organisé devant la plage du Prieuré face au Woop Beach. Plus de cinquante personnes y ont participé. Le cours était animé par Marine Benoit, éducatrice sportive diplômée d’Etat, qui propose à l’année des cours collectifs ou individuels en Zumba, natation, pilâtes et renforcement musculaire. Pratique : 06 16 35 69 40 / marinebenoit.zumba.com
La 28e édition du Festival international de musique de Dinard a pris fin le samedi 19 août, avec le dixième concert proposé par le trio Zadig.
Dans l’ensemble, un public amateur de musique classique a répondu présent même si l’auditorium Stephan Bouttet n’a pas toujours fait salle comble. Dans les coulisses, les membres de l’association Musicalies d’Emeraude apportaient leur aide sur toute la période du festival, que ce soit pour les contrôles des sacs aux entrées, la billetterie, les repas, les droits de Sacem…
Le Studio Corsaire était à la réalisation vidéographique, pour capturer et faire revivre les moments forts du festival que l’on peut admirer sur les réseaux sociaux de la Ville de Dinard tandis que le photographe du Festival, Olivier Fleury a su immortaliser des instants en couleur et en noir et blanc.
Le mot du parrain
Eric-Emmanuel Schmitt, le parrain de cette 28e édition du Festival est arrivé à Dinard le mardi 15 août et est reparti le vendredi 18 août. « Je voulais découvrir Dinard, me recueillir comme pour méditer, la Bretagne est pour moi un voyage initiatique ! J’ai constaté lors des représentations auxquelles j’ai assisté que le public était plutôt connaisseur, il réagissait, était ouvert et curieux ».
Pour cet amoureux de musique et des mots, « la culture doit être vivante, jamais muséale. Nietzsche disait qu’une journée sans musique était une journée perdue. J’aime plus la musique qu’elle ne m’aime. J’ai une forme de nostalgie du musicien que je n’ai pas été ».
Patrick Poivre d’Arvor, le parrain de l’édition 2016 avait promis de venir cette année pour animer un concert-lecture. « Je suis ravi d’avoir cédé le flambeau à Éric-Emmanuel Schmitt pour son regard de spécialiste de la musique ».
Le directeur artistique Ramzi Yassa, ravi de cette 28e édition du Festival, nous donne rendezvous l’année prochaine, le travail de préparation pour l’édition de 2018 ayant déjà été entrepris.