Le Pays Malouin

Axel et Léo Weber

Les frangins et handballeu­rs Axel et Léo Weber sont nos deux vedettes de la semaine.

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Son surnom ? AW : Il n’en a pas. LW : Lulus.

Trois mots pour le décrire ?

AW : Handball, famille, canapé.

LW : Têtu, bon vivant, dépensier.

Sa principale qualité ?

AW : Il pense d’abord aux autres.

LW : Il est très bon en cuisine.

Son principal défaut ? AW : Trop gentil. LW : Mauvais joueur.

Son selfie rêvé ? AW : En sortie de douche. LW : Avec Rihanna.

Sa passion inavouable ? AW : La chanson. LW : Le chant.

La chanson qui reflète sa personnali­té ?

AW : Le livre de la jungle, il en faut peu pour être heureux.

LW : Une musique house de boîte de nuit.

L’endroit où nous avons le plus de chance de le croiser ?

AW : Au Palais des Sports de Cesson.

LW : En boîte de nuit.

Et de ne pas le croiser ? AW : A la maison. LW : Au footing du dimanche matin.

Le personnage de fiction auquel tu le comparerai­s ?

AW : Un jedï pour son désir

Ce qu’il emmènerait sur une île déserte ? AW : Son portable. LW : Des cigarettes et des préservati­fs.

La personne avec laquelle il aimerait dîner en tête à tête ? AW : Lebron James. LW : Toujours Rihanna.

Ce qu’il ferait s’il gagne un million d’euros ?

AW : Il en donne la moitié à son frère adoré.

LW : Il prend sa retraite et investit dans les boîtes de nuit.

Son rituel d’avant-match ?

AW : Musique et barre de céréales.

LW : Il se fait beau et fume sa cigarette avant de se changer.

Son plus beau souvenir sportif ?

AW : Sa sélection avec l’équipe de France Jeune pour un stage en Russie.

LW : Quand il m’a battu la saison dernière avec Saint-Malo.

Le plus mauvais ? AW : Ses blessures ! LW : Quand j’ai fini devant lui au classement la saison dernière.

Le club qu’il choisirait si on lui proposait de jouer où il veut ?

AW : Je pense au PSG mais Montpellie­r pourrait également être une bonne option.

LW : THW Kiel.

Celui dans lequel il n’irait jamais ? AW : Loudéac. LW : Loudéac.

Il pourrait poser un lapin à sa partenaire pour… ? AW : Une autre fille… LW : Une bonne soirée avec ses potes.

Ce que tu lui dirais si tu étais son coach ? AW : Tir en bas. LW : Arrête de crier après l’arbitre.

Ce que tu lui dirais s’il te disait qu’il arrête le handball ?

AW : Ha ha, t’en as d’autres des blagues comme ça ?

LW : De bien réfléchir mais je le laisserai faire, il est assez grand.

Un autre sport dans lequel, il excellerai­t ? AW : Le ping-pong. LW : Le palet.

Son meilleur ennemi sur un terrain ?

AW : Lui-même, il se pose beaucoup de questions.

LW : Bizarremen­t, les joueurs qui lui ressemblen­t au niveau de l’attitude.

Le joueur auquel tu le comparerai­s ?

AW : A moi mais en moins fort évidemment !

LW : D’après certaines sources, mon père…

Match nul à quelques secondes de la fin et il s’élance pour un jet de 7 mètres, tu y crois ?

AW : Pas trop mais je vais dire oui…

LW : Oui j’y crois, mais je le regarderai­s en rigolant pour essayer de le déconcentr­er.

Une anecdote ? AW : Il est très très câlin ! LW : Mes coéquipier­s et certains amis qui jouent contre lui me disent souvent qu’il est infect sur le terrain et ça ne même m’étonne plus. Après la défaite à Cherbourg, les Malouins se sont bien repris en dominant Morlaix-Plougonven samedi dernier (29 – 26). Un déplacemen­t à Paris les attend dimanche.

« J’avais dit aux gars que nous devions frapper fort et gagner de 6 à 10 buts d’écart, pour montrer nos intentions de jouer le haut de tableau. » C’est par ces mots que Pierrick Veyrat dresse un bilan mitigé de la victoire de son équipe face à Morlaix- Plougonven, samedi soir. On commence à le connaître, le technicien malouin est difficile à satisfaire, son côté compétiteu­r est tel qu’il ne lâchera pas ses joueurs tant que l’objectif remonté ne sera pas atteint. Les Yellowboys se sont imposés de trois buts et c’est une bonne chose après la défaite à Cherbourg. « Malgré tout, suite à la baffe reçue il y a 15 jours à Cherbourg, il fallait quand même se relever » reprend celui qui sera dans les buts ce week-end et pour qui un autre championna­t commence dimanche avec le déplacemen­t à Paris. « Nous allons commencer à jouer de grosses équipes, car nous avons rencontré les 5 dernières du classement (hormis Cherbourg). Le plus dur est devant nous. »

En réalité, Paris Sport Club est 10e et se situe aussi dans le fond du classement. Pourquoi nous parle-t-il de grosse équipe alors ? Tout simplement parce que les Parisiens viennent d’accrocher Cherbourg pour la première fois de la saison (27 – 27). Grâce à eux, les Handballeu­rs Malouins retrouvent leur deuxième place au classement à seulement un petit point des Cherbourge­ois. Un déplacemen­t compliqué alors, d’autant plus que les Malouins partiront un peu dans l’inconnu « Je n’ai aucunes infos sur cette équipe, mise à part qu’elle s’est rajeunie et donc devrait proposer un jeu rapide avec une défense qui aime mettre des baffes comme beaucoup d’équipes parisienne­s. »

De plus, une rencontre prévue dimanche à 14 h en région Parisienne, ça n’emballe pas vraiment tout ce petit monde. « Les gars n’aiment pas jouer le dimanche d’autant que le départ sera très tôt, vers 7 h 30. » Dimanche ou pas, il n’y a de toute manière pas le choix si les Malouins veulent rester en haut du classement…

Nationale 3 Masculine : Paris Sport Club – CJF SaintMalo HB. Dimanche à 14 h, Vignoles.

Excellence Régionale Féminine : CMG sur Ille Handball – Emeraude Handball. Samedi à 20 h 30, SOS de la Duchesse Anne, Montgermon­t.

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