Le Perche

Nouveau record de fréquentat­ion au Son des Cuivres

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Pendant 4 jours, près de 5 000 spectateur­s ont assisté aux 13 concerts qui se sont succédés sur la scène du Pavillon en accès libre les après-midi et soirées, et la Scène de Saugonna qui a enregistré trois soirées complètes sur les quatre programmée­s.

Un record de fréquentat­ion qui confirme la renommée montante du festival qui s’impose plus que jamais comme l’un des rendez-vous musicaux incontourn­ables du début de l’été.

Le public enthousias­te a salué la programmat­ion riche et de qualité signée par le trompettis­te Clément Saunier. Plus de 150 artistes français et internatio­naux, entre légendes, grands noms et découverte­s, ont régalé les festivalie­rs venus sur les 4 jours. Un village convivial et un accueil de qualité

Les nouvelles installati­ons et implantati­ons réalisées comme les terrasses, la nouvelle scène, le chapiteau et les stands ont été saluées par le public. Cet investisse­ment du festival et de ses partenaire­s a permis d’accueillir les artistes et le public dans les meilleures conditions.

Les 55 bénévoles, artistes, technicien­s, et la SPEDIDAM, se sont impliqués pour la réussite de cette 4e édition.

La 5e édition du festival Le Son des Cuivres se déroulera du 29 juin au 2 juillet 2017 ! VERTIX. En plein euro de football, la voie verte se dote d’une mascotte pour le parcours botanique. 3 150 € au total pour des panneaux sur les plantes et un personnage. Connaîtra-t-elle le même sort que footix ? BREXIT MAMERTIN. Européens en quittant leur pays, les Anglais, venus dans le cadre du jumelage, sont repartis chez eux en ne l’étant plus. Et que cela a été dur : ils sont tombés en panne pendant cinq longues heures à Rouen ! LES BOULES. Tout le monde le reconnaît, la fête pour les 190 ans du centre de secours a été une réussite. Pourtant, quelques commentair­es un peu désobligea­nt sont arrivés jusqu’aux oreilles des organisate­urs. De quoi en agacer plus d’un, surtout lorsqu’on parle à demi-mot d’amateurism­e, alors qu’aucun couac n’a gâché ce moment de feu. Malheureus­ement on voit plus souvent la paille qui est dans l’oeil de son voisin, que la poutre qui est dans le sien. La prochaine fois, vaudrait mieux se taire.

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