Le très médiatique Parc
La communication : l’atout maître du Parc naturel, connu autant au niveau local, que national et international. Un plus pour la notoriété de la région.
Nocé.
Le Parc du Perche : plus qu’un label, une référence qui porte son message bien au-delà des frontières d’un territoire.
En une dizaine d’années, cette structure à cheval sur l’Orne et l’Eure-et-Loir est devenue incontournable auprès de la population, des collectivités locales et du monde associatif. Mariage réussi
De par sa situation géographique, à peine deux heures de Paris, il attire de nombreux résidents secondaires et pas mal de peoples qui ont trouvé, loin du star-system, une sorte de cocon, de havre de paix où ils peuvent, en toute tranquillité, sans être dérangés, vivre comme bon leur semble. Un peu bobo, un peu « parisianiste » pour celui débarque dans la région, le Parc reste à l’écoute des autochtones. Et c’est là sa grande force.
Il a su, malgré quelques réticences des uns et des autres, « marier » deux populations différentes et créer une union entre les ruraux et les « accourus » . Pas sans mal, c’est certain. « Les habitants sont fiers de leur région. » D’où l’importance de la communication. Un temps d’avance
Dans ce domaine, que ce soit dans son périmètre d’action qu’à l’extérieur de ses frontières et à l’étranger, le Parc naturel n’a pas et ne ménage pas ses efforts pour se faire connaître. Encore faut- il avoir quelque chose à « vendre » . En jouant la carte touristique, en misant sur les filières courtes, la biodiversité, la protection de l’environnement, le Parc a visé juste.
En avance sur de nombreuses régions et parcs naturels régionaux, il en a fait le fil rouge de sa politique. Cet autre manière de vivre, considérée un temps comme un effet de mode, s’invite maintenant un peu partout sur le territoire. Ça plaît et c’est surtout positif. À ce titre, le Perche est l’exemple à suivre. Du local à l’international
Rares sont les semaines où ses initiatives ne sont pas mentionnées dans la presse locale, voire dans les médias nationaux et internationaux. « Le Parc n’est pas simplement un logo. Il a acquis une certaine notoriété » , souligne Denis Guillemin, directeur du Parc. Il en tire une certaine fierté. Il peut. Les faits lui donnent raison. La preuve avec, dernièrement, la parution dans la revue Cuisine et vins de
France d’un six-pages pour une balade gourmande percheronne.
Une sacrée pub dont les retombées sont difficilement comptabilisables, mais certaines. Comment pourrait-il en être autrement. Étant donné que ce mensuel est tiré à 140 000 exemplaires, vendus dans le monde entier. Le Parc s’en félicite.
Surtout que ce n’est pas la seule revue à venir frapper à la porte du Manoir de Courboyer.
Le Vin Ligérien a aussi posé son regard sur la région, tout comme les revues : Notre temps, Maisons et travaux, Passion rando. Sans oublier, le quotidien anglais : The Independent. Une belle référence.
Vient s’ajouter, plus d’une vingtaine d’articles sur le blog du journaliste Gilles Pudlowski, consacrées à des découvertes culinaires percheronnes. « Un blog consulté par plus 300 000 personnes chaque mois. »
Les Carnets de Julie aussi sont passés par là, tout comme Des racines et des ailes.
Mais la cerise sur le gâteau reste le tournage d’un film de Laurent Charbonnier qui aura une portée mondiale par le biais de TV5 Monde. Il sera aussi diffusé sur Ushuaïa TV et sur les chaînes publiques.
A noter que pour ce tournage, le Parc du Perche est l’un des quatre parcs français sélectionnés. D’autres publications ici et là sont prévues. Internet et les réseaux sociaux favorisent aussi la visibilité du Parc qui veut aller encore plus loin en tissant des liens avec les blogueurs-voyag Visite virtuelle de Courboyer
Autre belle reconnaissance : la visite virtuelle du manoir de Courboyer et des sentiers de découverte du domaine avec Google Street view. « Ces images seront déployées dans Google maps et sur le site du Parc d’ici la fin de l’année. »
Ce qui ne devrait pas manquer d’accroître un plus la notoriété du Parc et d’attirer les visiteurs d’Outre-Atlantique dans ce coin de France.