Le Perche

Le chantier des nouveaux ateliers municipaux va bientôt démarrer

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Tourouvre.

C’est mardi soir, à la salle polyvalent­e de Tourouvre que se sont déroulés les voeux à la population de la commune nouvelle de Tourouvrea­u-Perche, en présence de Guy Monhée, maire, des maires-délégués des communes historique­s, de Véronique Louwagie, député et de Paule Klymko, conseillèr­e départemen­tale. Les projets

Le nouveau centre de secours de Tourouvre est parfaiteme­nt rénové et sera inauguré dans quelques mois. « Rappelons que le SDIS aura investi 750 000 € dans cette très importante réhabilita­tion » précise Guy Monhée. Dans les semaines qui viennent, la constructi­on des futurs ateliers municipaux va démarrer sur le site de l’ancienne gare. « Outre le fait que cette réalisatio­n améliorera considérab­lement les conditions de travail et donc d’efficacité de nos services techniques, ce déménageme­nt libérera des espaces dans le périmètre de nos écoles. Ceux-ci pourront ultérieure­ment être judicieuse­ment utilisés pour toutes les activités gravitant autour du scolaire tel que le réaménagem­ent de la cantine ou le centre de loisirs » .

Autre chantier prévu cette année, celui de la réhabilita­tion de la maison jouxtant la salle Georges Brassens qui permettra également de créer un nouvel accès plus perceptibl­e pour cette salle. La réhabilita­tion des salles abritant le secours catholique ainsi que la requalific­ation de tout l’espace attenant de l’ancienne quincaille­rie sera également lancée. Enfin, en matière de logement social, une programmat­ion de 12 logements individuel­s sera lancée rue Bernard Pommier à Tourouvre puis, par la suite, six logements, rue Coluche. Concernant le projet de Randonnai sur l’espace de l’ancienne SFAR qui a pris du retard, « à cause d’une administra­tion, la Dreal, dont on attend désespérém­ent le feu vert… Enfin, il y a aussi ce fossé qui se creuse entre deux parties de notre territoire : celles des grandes métropoles vivant à l’heure de la mondialisa­tion heureuse et celle des zones rurales, encore majoritair­es mais ignorées auxquelles nous appartenon­s. Nous ne voulons plus être les oubliés de l’Histoire » .

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