Maurice Engrand (Pardem)
Parti de la démondialisation.
Maurice Engrand, 76 ans, retraité, père de deux enfants, habitant à Bellou-le-Trichard. Sa suppléante est Joëlle Maillard. Quelle réforme vous semblet-il urgent de porter pour le bien de la France ?
Une politique de réforme ne pourra s’appliquer qu’avec une souveraineté nationale récupérée, hors de l’Union européenne. La priorité est l’éradication du chômage par la création de cinq millions d’emplois dans la réindustrialisation et le secteur non-marchand, à cette fin, 200 milliards d’euros seront repris à la rémunération du capital, cette somme ayant été détournée annuellement de la masse salariale depuis trente ans. Quelle est votre priorité pour le Perche ?
Imposer des prix du lait et de la viande permettant aux producteurs de vivre décemment de leur travail en les libérant de la concurrence imposée par les politiques néo-libérales. Cela ne peut se faire qu’en contradiction avec les clauses des traités de l’Union européenne qui imposent la mondialisation néolibérale capitaliste, il faut donc sortir de l’Union européenne et de la monnaie unique. Pourquoi voter pour vous ? Je suis investi par le Parti de la démondialisation, qui propose une alternative cohérente dans son programme de gouvernement. En retrouvant sa souveraineté, la France peut éradiquer le chômage, rétablir les équilibres sociaux, pratiquer une politique de coopération internationale ayant pour but l’aide au développement et l’équilibre de la balance commerciale. Quel député seriez-vous ?
Je serais un député ordinaire travaillant à l’amélioration de la vie du plus grand nombre et non au maintien des privilèges d’une oligarchie actuellement toute puissante. Générosité et désintéressement sont des idées-forces à promouvoir pour sortir du climat de concurrence et de guerre économique. L’égalité doit être pratiquée d’abord, la fraternité en sera la conséquence et la liberté le résultat final !