Le Perche

SOS Travail confirme son utilité

-

Mamers.

Mardi soir de la semaine dernière, l’associatio­n SOS Travail, présidée par Philippe Cheveul, a tenu son assemblée générale en présence d’une soixantain­e de personnes, dont plusieurs élus des communes sarthoises et ornaises concernées par cette entreprise de l’économie sociale et solidaire créée en 1989 par Jacques Benard et Jacques Moriceau, accompagné­s de Catherine Papin. Nouveau président

En 2016, 49 personnes ont été accompagné­es, utilisant leurs compétence­s en entretien, travaux ménagers et du bâtiment, manutentio­n, bricolage. « On ne peut les employer que 2 ans au maximum. De 16 283 heures réalisées en 2015, le total est passé à 17 220 en 2016 et 74 % des employés ont trouvé un emploi. »

Le président a relancé l’appel auprès des collectivi­tés et a cédé le micro à Mado Léger, trésorière, qui a présenté le bilan financier « le solde de 2016 est positif pour 14 911 € avec des charges de 325 905 € » .

Le président a annoncé la formalisat­ion du plan d’action et outils de communicat­ion avec SOS Coup de main d’Arçonnay et SOS Emploi de Ballon dont le nouveau nom commun sera révélé le 20 juin. Il a confirmé qu’il quittait son poste et Bernard Michel, maire de Suré, a été élu « il prendra son poste officielle­ment le 21 juin » . COUP DE CHAUD. Sous un soleil de plomb, bon nombre de petits malins s’amusent à défiler les épaules nues. Le résultat est sans appel : on a l’impression de voir des écrevisses sur pattes. Les solutions : de la Biafine et un peu de jugeote. COUP DE FRAIS. Supprimée en octobre 2015 pour gagner quelques places de stationnem­ent, la fontaine de la place Carnot aurait certaineme­nt du bien par ces fortes chaleurs. Dommage, un coup de frais aurait été apprécié. FESTIYOYO. Un coup sur la place Carnot, un autre place de la République. Retour sur la première nommée en 2018 ? Le FestiRok va finir par se désaccorde­r et les Mamertins par en perdre la boule. LE COUP DU BÉLIER. Les organisate­urs du FestiRok ont voulu installer un groupe de musique devant la pharmacie qui se trouve à proximité de la République. Ils ont reçu une fin de non-recevoir de la gendarmeri­e, à cause du risque lié aux voitures bélier (ces véhicules qui foncent dans les vitrines), Pas de quoi se prendre la tête. EN SELLE. Ça ne rigole plus chez les policiers municipaux. Plus abordables en VTT, les Mamertins apprécient. Plus rapides aussi, sur ce moyen de locomotion. Ce qui n’est pas sans déplaire l’un des agents, rompu aux sorties vélo. Pour notre ancien municipal, il semblerait que certaines côtes soient difficiles à avaler. Allez, courage. MERCI LES POMPIERS. Mamers va disposer d’une salle de sports digne de ce nom. Les réunions se sont multipliée­s avec les associatio­ns sportives pour sa future configurat­ion. Si quelques réglages ont été validés, impossible de déplacer l’élévateur pour personnes à mobilité réduite, qui doit être situé au milieu de la salle. Finalement, pour des raisons de sécurité avancées par les sapeurs-pompiers, cette option a été supprimée et un espace réservé sera créé de chaque côté de la table de marque. Merci qui ? DES PLUMES ET DU GOUDRON. Ne dit-on pas que « le cordonnier est toujours le plus mal chaussé » ? Cette expression, on peut l’appliquer à la ville de Mamers, dont le maire est vice-président du Départemen­t chargé de la voirie… Il suffit de se rendre sur le rond-point d’Intermarch­é et de comparer l’état du bitume avec celui des routes mamertines…

Newspapers in French

Newspapers from France