Une écrivaine islandaise à la médiathèque, jeudi 23 novembre
Mortagne-au- Perche.
Alexandre Bertiaux a présidé l’assemblée générale de l’Amicale des sapeurs-pompiers, vendredi 10 novembre, devant une quarantaine de personnes. Une minute de silence a été observée en mémoire des personnes décédées au cours de l’année. Les ventes de calendriers sont en hausse depuis 2015, elles représentent 90 % du budget de l’Amicale. Le président a chaleureusement remercié les porteurs. Le solde des recettes repose sur le loto, le prêt de vaisselle et la vente de roses lors de la Sainte-Barbe. Cinq jeunes sapeurs- pompiers devraient intégrer la caserne prochainement. L’Amicale adhère depuis le 1er janvier 2017 à l’INTER CE, et l’arbre de Noël, programmé le 17 décembre, bénéficiera des avantages relatifs à cette récente adhésion. Après l’approbation des bilans moral et financier, il a été procédé à l’élection du tiers sortant à bulletin secret. Julien Eon, Pierre Pelletier, Tuncay Bicki, Bernard Châtelet et Fabien Petit ont été élus. Prochains rendez-vous : la Sainte-Barbe (le 25 novembre), et le loto géant, le 11 février 2018 à 14 h au Carré du Perche (avec plus de 3 500 € de gains mis en jeu).
Mortagne-au- Perche.
Les Boréales, festival en Nord, programme depuis plus de 20 ans des événements en Normandie. Il s’agit de propositions de littérature, de cinéma, sans oublier des expositions, de la musique. « Cette année, la médiathèque de Mortagneau-Perche a la chance et le privilège de recevoir une écrivaine islandaise, puisque le pays mis à l’honneur avec cette édition est l’Islande. Un pays qui se démarque un peu des autres pays du Nord » , se réjouit Catherine Guimond, directrice de la médiathèque. Steinunn Johannesdottir rencontrera les lecteurs à la médiathèque jeudi 23 novembre, à 17 h.
Née en 1948, elle a étudié le théâtre et la psychologie. Comédienne, elle a écrit également des pièces, des nouvelles, des biographies et des romans jeunesse. L’esclave islandaise est un ouvrage en deux livres. « On a bien aimé son roman historique, situé au 17e. Il évoque un enlèvement des barbaresques qui arrivent dans les petites îles islandaises et emmènent hommes femmes et enfants en esclavage. Pour ce roman en deux volumes, l’auteur a fait un travail documentaire important. » Notamment en France, où Steinunn Johannesdottir vient, paraît-il, souvent. Séance de dédicaces
Le livre emmène le lecteur à la découverte des pays chauds, de mondes nouveaux, lui fait vivre les déchirements familiaux de ses héros, le mirage d’un retour au pays natal. Assistée d’un traducteur, Steinunn Johannesdottir présentera son livre, avant une séance de dédicaces. Après Maria Ernestam, Marti Lina, une nouvelle rencontre de qualité s’annonce.