Le pôle sportif sort de terre
Débutés il y a une dizaine de jours, les premiers coups de pelle pour la réalisation du pôle sportif, ont lancé ce chantier d’un coût total de 903 340 € HT avec options.
Les travaux sont réalisés en trois phases et devraient être achevés en décembre. Après la réalisation du terrain synthétique multisport, c’est le 2e grand chantier sportif engagé par la municipalité. À l’issue du terrassement, les premières réalisations consistent à créer les parties neuves, c’est-à-dire le club-house multi-associations puis dans la foulée, la nouvelle et 2e salle de tennis perpendiculaire au bâtiment actuel : « Cet espace de convivialité, sis entre l’ex-salle omnisports et le 2e cours, ouvrira sur toutes les salles, tennis, ping-pong, salle polyvalente et même du côté du terrain de pétanque » précise David Briand, conseiller délégué aux sports et leader du groupe qui planche depuis 2014, sur le projet sportif global de la commune.
Un chantier à 93 % breton
Notons que l’ensemble des activités sportives ne seront pas perturbées pendant cette première phase de travaux jusqu’au mois de juin « En juin et juillet, est prévu le désamiantage de l’ensemble des toitures, ainsi que leur réfection avec isolation thermique et phonique. Dans le même temps, ce sera au tour des sanitaires et des vestiaires, de subir une bonne cure de jouvence avec la réalisation de l’accès aux PMR évidemment » annonce David Briand.
La dernière tranche portera sur la réhabilitation de l’accueil du bâtiment actuel avec une nouvelle entrée digne de ce nom, des vestiaires pour arbitres et des bureaux dans le bâtiment omnisports actuel. Rappelons que ce dernier date du début des années 1980 avec extension les années suivantes. « Profitant de ce grand chantier, nous allons également refaire le revêtement du cours de tennis existant dans la même matière que celle du cours neuf, de manière à pouvoir accueillir officiellement les compétitions d’un certain niveau » ajoute l’élu.
Dernier point : les 16 lots ont été attribués à des entreprises régionales à 93 %. Plus de 60 % d’entre elles sont à moins de 30 km du chantier et 43 % sont des entreprises locales, c’est-àdire sises à moins de 15 km de Lanvallay.