Le Petit Bleu

Un premier bilan soumis aux habitants

- Agenda : les deux prochains rendez-vous sont le jeudi 23 mars à 20 h 30 à la salle des fêtes de Lanvallay et le vendredi 24 mars à 20 h 30, dans l’ancienne mairie de Saint-Solen.

La première des quatre réunions publiques prévues, pour faire le point des actions envisagées, engagées et restant à faire au cours de la mandature, a drainé une vingtaine de riverains.

Innovation importante, la municipali­té a décidé la réalisatio­n de grands panneaux par thème (Economie et commerce, Voirie, Urbanisme, Cadre de vie et mobilité, Enfance-jeunesse, etc.) avec textes réduits et photos à l’appui. Ainsi, avant le débat, chacun peut s’imprégner de l’état du programme annoncé en 2014, des actions menées de 2014 à 2017 et des projets à suivre jusqu’en 2020. Notons aussi chaque panneau indique le bilan chiffré des réalisatio­ns par secteur d’activités.

Puis, Bruno Ricard et son équipe ont souhaité un débat sous forme de tables rondes où riverains et élus pouvaient discuter en petits groupes de tous les sujets concernant la commune.

À qui le maire, donnet-il son parrainage ?

Une discussion ouverte, libre, « où chacun pose les questions souhaitées et auxquelles nous tâcherons de répondre le plus précisémen­t possible », a assuré le maire. Ce contact privilégié entre élus et riverains a facilité le débat : « Pourquoi ne pas déplacer la salle des fêtes pour des raisons de visibilité ? » Interroge Pascal Quintin. « Quel avenir pour le bâtiment de la Poste ? » questionne Colette Carrée. « Ces questions intègrent le projet plus global d’aménagemen­t du centre bourg, un groupe de travail réfléchira à ce projet » répond le maire. « Quid des nids de poule à tel endroit ? » « Peut-on améliorer les questions sociales en assurant une permanence en mairie » . Voici en bref, quelques exemples de questions posées aux élus qui ont répondu le plus clairement possible dans une ambiance bon enfant et studieuse à la fois.

Une question toutefois a reçu une réponse mitigée, élections présidenti­elles obligent : «A qui as-tu donné ton parrainage ? » lance Pascal Quintin. « Choisir un parrainage n’est pas forcément un signe de vote pour l’intéressé ! J’ai pré- vu de le dire mais en temps utile… » répond Bruno Ricard.

Un débat où chaque table relevait les points abordés qui feront l’objet d’un compte rendu global des quatre réunions dans le prochain bulletin municipal.

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Élus et riverains attablés pour un débat constructi­f.

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