La semoule, entre grain et farine
On appelle « semoule » tous les produits obtenus après le broyage d’une céréale. Elle constitue l’aliment de base de différentes civilisations. Semoule de blé, riz ou maïs ? Chaque céréale donne un type de semoule particulier. Pour cela, elle doit subir plusieurs étapes. La mouture, afin de broyer l’amande du grain. Puis le séchage et enfin le tamisage. On obtient ainsi la polenta, à partir du maïs, ou une semoule de manioc, particulièrement apprécié en Côte d’Ivoire. En Afrique du Nord, on privilégie l’orge alors que la semoule de blé dur est indispensable à la préparation des pâtes en France ou en Italie. En France, on opte plutôt pour le blé dur Riche en glucides et en gluten, la semoule de blé dur est donc la plus utilisée en France. Il en existe trois types : grosse, moyenne et fine. On la cuit à l’eau ou dans du lait. Dans tous les cas, la semoule agit comme une éponge. Elle absorbe trois fois son poids de liquide. Elle se gorge au passage des nutriments présents dans le liquide de cuisson (calcium, lipides…). La semoule est généralement intégrée à des recettes de puddings, crèmes ou soufflés. En accompagnement, vous pouvez choisir sa version transformée : le couscous. Il s’agit en effet d’un mélange de semoule, de farine, d’eau et de sel.la plupart des plats en sauce ou mijotés. APEI-Actualités. M.B. Crédits des visuels : Petits gâteaux de semoule aux poires caramélisées : ©ML Tombini/Passion Céréales Crêperie La Cour Saint Sauveur :