Le Petit Bleu

Un limitateur de sons à la salle Hélène-Boucher

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Depuis nombre de mois, la mairie ne comptait plus les plaintes des riverains de la salle Hélène Boucher. Certains locataires de la salle ne respectant pas les réglementa­tions en cours en terme de bruit ou les horaires. La municipali­té a pris l’affaire à bras le corps et a commencé par installer un limitateur de bruits à 105 décibels. « S’il y a dépassemen­t, tout se coupe y compris la cuisine. Seules les lumières resteront allumées. Il faudra l’interventi­on d’un élu pour réarmer le limitateur » explique Jacky Baillehaic­he, adjoint en charge des salles. Désormais également l’obligation du locataire d’être le titulaire de l’assurance et d’être présent jusqu’à la fermeture de la salle. Des abus avaient, en effet, été constatés. Les horaires légaux sont maintenus : 1 h du matin sauf dérogation, 2 h par le maire ou 3 h par le Préfet.

100 000 € pour la voirie.

Claude Leborgne, maire, a rappelé l’enveloppe votée pour la voirie : 100.000 €. « Des engagement­s ont été pris pour la résidence des Bruyères » rappelle l’édile. Les élus ont lancé une procédure de marché à bon de commande. 2017 verra une première tranche de travaux et deux autres en 2018-2019. Pour 2017, on prévoit 80.000 € de travaux de voiries et 60.000 € les deux années suivantes.

Aménagemen­t du bourg : plan de financemen­t. « La réalisatio­n de l’aménagemen­t en centre bourg de la rue du Gassay demande de définir un plan de financemen­t. Nous pouvons solliciter auprès de Michel Vaspart, sénateur, de la Préfecture dans le cadre des Dotations d’Equipement des Territoire­s Ruraux (DETR) et du Conseil Départemen­tal dans le cadre des amendes de police une subvention pour nous aider à la réalisatio­n de notre projet » rap- pelle Claude Le Borgne. Les élus ont établi un plan de financemen­t. Coût estimé des travaux : 280.000 € HT. Plan de financemen­t : réserve parlementa­ire, 10.000 € ; amendes de police, 25.000 € ; DETR – Travaux ou équipement de voirie liés à la sécurité, 95.000 € ; autofinanc­ement, 50.000 € ; emprunt, 100.000 €.

Parc Naturel Régional : un accord de principe.

« C’est un projet potentiell­ement intéressan­t et ce n’est pas un engagement définitif » notait Claude Le Borgne après la présentati­on par Annie Rault, adjointe du projet de Parc naturel Régional. Ce PNR « Rance-côte d’Emeraude » viendrait après ceux du Parc d’Armorique et celui du golfe du Morbihan. 63 communes so nt concernées à cheval sur les Côtes d’Armor et l’Ille-et-Vilaine. Les élus ont voté un accord de principe pour ce nouveau parc régional.

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