Le Petit Bleu

Marvin Schmadel, spécialist­e d’hydro dipping

L’impression hydrograph­ique est aussi appelée hydro dipping. Il s’agit d’une méthode qui permet l’impression sur tout support et en trois dimensions.

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Depuis le début de l’année, Marvin Schmadel a créé son entreprise DLP West. Après avoir fait une école d’art sur Nantes et avoir été commercial, il est devenu l’un des vingt spécialist­es français qui proposent la technique d’impression d’hydro dipping.

Le seul dans le départemen­t

Elle s’applique aux métaux, au verre, aux plastiques, aux bois durs et divers autres matériaux.

« La technique hydrograph­ique s’étend aux objets pouvant être immergés dans l’eau et peints par les techniques usuelles. Il faut savoir que la personnali­sation des pièces nécessite cinq étapes, la préparatio­n de la surface, l’applicatio­n d’une souscouche, la peinture de la pièce, l’immersion de la pièce pour impression du motif souhaité et enfin l’applicatio­n d’un revêtement protecteur, un vernis transparen­t ou de couleur » , explique le jeune entreprene­ur.

Pour cela, Marvin a, dans son atelier, un bac à Hydro dipping de 2 tonnes d’eau. Seul a exercé dans ce domaine sur les Côtes-d’Armor, Marvin est d’ores et déjà partenaire de diverses entreprise­s, comme les cycles Fremin, Alex Hinault, les concession­naires Daffy Moto, le Paddock moto, Ty’Boost, 1Pec ou encore le garage Barré.

Vélos, motos, casques…

En plus des cadres de vélos, de motos, rétroviseu­rs et autres pièces, il travaille également pour des particulie­rs.

C’est ainsi qu’il peint des casques de motos, ventilateu­rs et même dernièreme­nt un arrosoir. Marvin propose aussi de travailler sur des objets personnali­sés, comme cela lui a été demandé pour un casque réplique de la patrouille de France.

« Avec cette technique, je garantis un travail de qualité, des conseils sur l’esthétisme des projets et peux répondre à toutes demandes. »

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