4 LE CONSEIL EN POINTS
Le retour de la semaine de quatre jours à l’école.
On le pressentait : les Temps d’Activités Périscolaires étaient en sursis et avec eux la semaine de quatre jours et demi à l’école. « À une très grande majorité, les parents d’élèves s’étaient prononcés pour une suppression des Temps d’Activités Périscolaires en septembre 2018. À l’unanimité, le conseil d’école s’est prononcé pour un retour à la semaine de quatre jours et donc la suppression des TAP » expliquait Gérard Berhault, maire. Un maire qui concède que tout ne fut pas négatif : « Au-delà de l’aspect financier, ces TAP ont aussi permis aux agents d’avoir une nouvelle expérience en matière d’animation et aux enfants de découvrir de nouvelles activités. » Certains élus ont « regretté qu’un véritable bilan n’ait pas été effectué. » « Ce retour à la semaine de quatre jours va amener la municipalité à réaménager les horaires du personnel affecté au groupe scolaire » concluait le maire.
La salle polyvalente à la disposition des Carnéens.
La salle communale de Saint-Carné est en travaux de restructuration et d’agrandissement. Ce qui prive les associations carnéennes d’un espace pour leurs éventuelles manifestations. Elles ont sollicité Le Hinglé afin de poursuivre leurs animations. Les élus ont décidé à l’unanimité que la salle polyvalente du Hinglé sera mise à la disposition des associations de Saint-Carné dans les mêmes conditions que les associations hingléziennes, pendant la période des travaux.
Les allées du cimetière engazonnées.
C’est un effet du zéro phyto : l’entretien des espaces publics et notamment du cimetière pose de vraies difficultés. La commission travaux propose d’opter pour un engazonnement des allées. « L’utilisation d’un gazon spécifique limite le nombre de tontes et facilite l’entretien général. » Coût : 2.200 €
Urbanisme.
Gérard Berhault et la commission Urbanisme ont fait part au conseil des travaux du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (Plui). La commission se réunira prochainement afin de déterminer les zones à proposer à l’Urbanisation en prenant en compte la réduction des surfaces constructibles imposées par le Schéma de cohérence territoriale (SCOT).