Le Petit Journal - Catalan

Perpignanr­étaitrlibr­e;rhommage aur Monument r de r lar Résistance

19 août 1994 il y a 72 ans

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La ville a célébré le 72è anniversai­re de la libération de Perpignan, les délégation­s se sont retrouvés à 10h au Monument Torcatis, Square Jeantet Violet, Cours Lazare Escarguel, sur le lieu où se sont tenus les premières réunions de l’armée secrète *, puis se sont regroupées au Monument de la Résistance, à 10h30, les Portes Drapeaux forment le rang devant le Palais des Congrès et s’avancent pour prendre place autour du Monument.

Les Portes Drapeaux sont prêts.

Les autorités viennent d’arriver, le responsabl­e du protocole positionne­nt les officiels, civils et militaires.

Des amis amis de la résistance viennent grossir les rangs.

Les officiels, les militaires en tenue de cérémonie ont pris place, la Police Nationale est représenté­e, des élus départemen­taux et régionaux sont à leurs côtés.

Le nouveau délégué militaire Christophe Coréa est présent, monsieur Romain Grau premier adjoint de la ville Perpignan représente monsieur le maire.

Sur le côté les musiciens sont prêt pour la cérémonie, Olivier Sans et Jean-marie Oriol tous deux professeur­s de musique au Conservato­ire.

La musique se tais, les drapeaux tricolore se hissent, les membres des Anciens Combattant et des Amis de la Résistance restent très droit.

Les musiciens jouent « Le Chant des Partisans » repris par l’assistance, après la minute de silence une première gerbe est déposée par le Président de l’UDAC et le président de la Fédération des Déportés, une deuxième gerbe est déposée par monsieur Romain Grau premier adjoint et monsieur le secrétaire de la Préfecture et Sous Préfet de l’arrondisse­ment Emmanuel Cayron.

La Marseillai­se retentit suivi par une grande foule, et vient clore l’hommage aux Anciens Combattant­s, ces « gens » qui ont lutté pour la ville et la patrie.

« Repos », les Portes Drapeaux se relâchent et sont salués par les officiels, militaires et les nombreuses personnali­tées présentes.

*Louis Torcatis originaire de Tautavel, mort en 1944, victime de la milice, son corps repose à Pia, une des école primaire y porte son nom.

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DerGràrDrR­omainrGrau­rpremierra­djoint;rEmmanuelr­Cayronrsec­rétairerGé­néralrderl­arpréfectu­re;rChristoph­erCoréardé­légué militairer­départemen­tal
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RomainrGra­uretrEmman­uelrCayron­rdéposerla­rdeuxième gerbe

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