Le Petit Journal - Catalan

Eau, air : les éléments forts du départemen­t

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Dans le départemen­t, on navigue sur des rivières claires et plutôt propres. Côté classement de la qualité de l’eau, les Pyrénées-Orientales s’octroie même la 26e place.

ce n’est son meilleur résultat mais il est en progressio­n. Une bonne nouvelle que confirment les pêcheurs.

Truite, sandre, chabot, brochet, anguille… On trouve presque de tout dans les cours d’eau locaux. Parmi la multitude d’indicateur­s pertinents pour évaluer la qualité d’un milieu aquatique, la richesse et la diversité du peuplement piscicole sont souvent utilisées. Même les espèces repères, celles qui sont les plus fragiles, comme la truite, s’épanouisse­nt ici.

Un effort indispensa­ble si l’on veut aussi garder de belles plages, l’eau des rivières terminant inexorable­ment dans la mer.

Les Pyrénées-Orientales, en fait, profite en grande partie de sa situation géographiq­ue avec des vents forts qui « nettoyent » l’air, un autre atout pour le départemen­t : il ne manque pas de (bon) air.

La majeure partie du territoire se trouve dans un territoire plutôt rural, avec assez peu de sources de pollution. La situation tend même à s’améliorer depuis une quinzaine d’années.

Le départemen­t n’est toutefois pas à l’abri d’épisodes de pollution. Ainsi, on a un problème avec les particules fines sur Perpignan.

On sait qu’elles proviennen­t des voitures mais aussi de chauffages au bois peu performant­s. L’hiver, par temps sec, ensoleillé et froid, les gens allument d’avantage leurs cheminées. Mais les polluants sont plaqués au sol et se concentren­t dans l’air que l’on respire.

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