Les jeunes moins craintifs mais pas préservés
L'été, l'heure des vacances en groupe, des séjours entre copains et des jeux en famille. Le cetteantout, née, dans une ambiance marquée par l'ombre du coronavirus.
Mais l'ambiance de fête est-elle si lointaine ? Pas suffisamment, aux yeux des autorités sanitaires, qui craignent l'effet du esrelâchement tival, en particulier chez les plus jeunes. 1 Des cas positifs de plus en plus jeunes Pourquoi un tel accent sur la jeunesse ? Au mois de mai, moins de deux cas positifs sur dix étaient identifiés chez les moins de 30 ans. Les plus de 70 ans taient alors un tiers des tions confirmées. Deux mois plus tard, tandis que l'été bat son plein et que l'heure est aux vacances, les portions sont Un casdérenversées. pisté sur trois concerne les plus jeunes, un sur dix chez lessecontre niors.
Cette hausse des cas positifs pond à une circulation du virus dans cette tranche d'âge des moins de 30 ans. Au cours des sedernières maines, en pleine période estivale, le nombre de contaminations tées à la population (le « taux dence ») est resté stable en France, malgré une légère hausse récente. Mais, depuis le mois de juin, ce taux a très fortement diminué chez les plus de 70 ans.