Apprendre à vivre avec le “Tigre”
L'été, la chaleur, la plage, les barbecues ... et les moustiques. Comme chaque année, ces petits insectes viennent cher nos soirées d'été en nous piquant pour se nourrir. Un phénomène qui risque de s'aggraver avec l'urbanisation et le chauffement climatique. Bzzzzz, le bruit nous fait frémir. Les moustiques s'invitent à chacune de nos soirées d'été : si vous les craignez, l'inverse n'est pas vrai. En les mouseffet, tiques s'adaptent de plus en plus aux humains, comme le unenourévèle velle étude parue dans la revue Current Biology.
Cette a étémerecherche née sur le moustique tigre, le plus redoutable, présent dans une vingtaine de sites en Afrique subsaharienne. Les chercheurs ont qué que les moustiques les plus susceptibles de quer aux humains (plutôt qu'aux évoanimaux) luaient dans des régions densément peuplées et au climat sec. Pour eux, cela signifie que les moustiques de cette espèce chent avant tout les eaux stagnantes et le sang des humains pour survivre. L’urbanisation rapide pourrait donc accroître les piqûres ...
Le moustique tigre, vecteur de plusieurs maladies comme Zika ou le gunya, ne pique plus seulement en Asie et en Afrique mais aussi sur le sol français depuis 2004. « espèces de mousDes tiques préfèrent les milieux forestiers, la campagne et la végétation quand d'autres sont très pophiles et lesmiaiment lieux urbanisés, comme c'est le cas du moustique tigre », explique Johanna Fite, de lamisresponsable sion vecteurs à l'Agence nationale de sanisécurité taire de l'alimentation, de l'environnement et du vail (Anses). En effet, ce moustique se développe particulièrement dans les zones urbaines et baines et prolifère dans des réservoirs d'eau ou des cipients : vases, goutpots, tières ...
L’insecte est devenu une préoccupation nationale : « Les moustiques tigres vont représenter un risque sanitaire majeur sur semble du territoire lors des prochaines décennies », a estimé la commission d'enquête sur le sujet, à l'Assemblée, la semaine dernière. « Si cinpendant quante ans, le territoire métropolitain a vécu à l'abri des maladies mises par les moustiques, tel n'est plus le cas jourd'hui. Il apfaudra prendre à vivre avec eux, en limitant au mieux leur impact sur la santé des Français », explique la rapporteure et députée LREM de Mayotte, Ramlati Ali. Le cliréchauffement matique ne devrait pas les faire fuir, bien au contraire : les saisons seront plus longues et favorables à ce type de moustiques, qui a une grande capacité d'adaptation. Ce qui fait dire à Johanna Fite : « C'est un enjeu important en terme de santé publique car ces moustiques sont amenés à coloniser semble du territoire. À cun de se mobiliser. »