Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne
Ce dimanche 14 mai restera dans les annales
Le président Corbière, tout son bureau, tous les membres, ont eu une idée géniale, en invitant la troupe de théâtre voisine de Marsac.
Elles fête ses premiers anniversaires, mais quel talent. Les huit acteurs qui la composent frisent la perfection. La pièce qu’ils ont interprétée « Sacré Pépé » est moderne, hilarante, pleine de quiproquos, qui ont ravis l’auditoire.
Les applaudissements, les rires, les cris de ravissement, de surprise, résonneront longtemps dans le coeur et l’esprit des personnes présentes.
Environ une centaine, c’est dire si le spectacle programmé en valait la chandelle. Quand vous serez que le sacré « Pépé » n’a jamais montré le bout de son nez, puisque c’est autour de son urne funéraire, que c’est déroulé, le génial scénario, revisité par la troupe.
Erreur de faire part, erreur de nom, erreur, encore erreur, vous comprenez déjà tout le reste… ! Formidable, merci à eux.
Noms des acteurs, Létitia Le Guillou s’appelle Marie, elle est la femme du peintre Thomas, qui dans la vie se nomme Le Guillou. La grand-mère Aglaée n’est autre que Christine Fraysse. L’ami Roger porte le nom de Jean-baptiste Canneau. La belle-mère Jeanne n’est autre que Martine de Marsac. Pauline la copine, de son vrai nom Christine Denègre. Brigitte Bayrou joue le rôle de la galeriste Débora. Et enfin Jean-michel Perez n’est autre que le curé.
Voilà pour la première partie de la soirée, qui fut géniale du début à la fin. Troupe d’amateurs certes, mais au talent assuré, pour devenir un jour des champions.
Pour la deuxième partie, c’est Gramont qui entra dans la dans la danse, avec l’apéritif dinatoire. Le président Corbière fin cuisinier du petit feuillant, n’eut aucun mal à combler les appétits. Un vrai régal. Et ce qui ne gâte rien, le tout en participation libre.
Pour cette soirée, Gramont et Marsac ne faisait qu’un, puisque Les maires Triffault et Auzeric, étaient accompagnés de leurs épouses, et de bon nombre d’habitants des deux villages.
Pour un essai ce fut un coup de maitre, qui revient a l’esprit de l’union, du partage, et du don de soi.