Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne

La Muse bondée pour le film « En panne »

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L’évènement était très attendu. Ce dernier week-end était donc marqué par la sortie en salle du film « En panne », réalisé par Sébastien Aubert pour une fois devant les projecteur­s, Car c’est lui qu’on attendait impatiemme­nt samedi dans une salle archi pleine, du jamais vu pour tout le personnel de La Muse. L’entrée dans la salle a été longue et parfois périlleuse compte tenu de l’affluence. Plusieurs personnes n’ont pu accéder à cette séance. Les élus étaient nombreux à prendre place pour découvrir ce film, Laurencepa­gès, Marie-claude Berly, Philippe François, Annie Guillot, Monique Valat, Nicole Roussel pour legrand Montauban, aux côtés de Jean-louis Ibres, Christine Mollin, Bernadette Serieys et Christiane Guerrin mais aussi Valérie Rabassa ou Liliane Latu. Un auditoire attentif au discours du réalisateu­r qui a immédiatem­ent planté le décor : « Aujourd’hui ce sont les enfants qui sont à l’honneur » signale celui qui remercie toute l’assistance et rend un hommage appuyé à Jean-claude Hébrard. Pour le maire, Jeanlouis Ibres, l’occasion était trop belle pour ne pas féliciter tous les protagonis­tes : «C’est tout le savoir-faire de Bressols qui est mis à l’honneur, et j’espère que ce film saura retenir votre attention car il s’agit d’un travail remarquabl­e ». Effectivem­ent, l’assistance a réagi vivement aux différente­s péripéties de ces enfants dans la campagne du Tarn-et- Garonne.

Un film poignant. Dans leur périple, les acteurs nous font partager des réflexions sur l’avenir de la planète et les alternativ­es pour réfléchir à un monde meilleur : « Il fallait vraiment y penser, tout se tient, le scénario est bien trouvé et on passe une heure impeccable­ment rythmée» signale un participan­t. Le message est très fort. Puis il y a aussi la musique, formidable, qui colle parfaiteme­nt aux plans saisis par l’objectif: «Il y a là de la subtilité, de la profondeur entre l’image et le son »souligne Liliane Latu laquelle souligne un travail millimétré. Enfin de son côté, Laurence Pagès félicite cette initiative : « Je suis scotchée, c’est un travail remarquabl­e mené avec une grande finesse et une grande justesse ». Durant le week-end, près de 500 personnes se sont mobilisées pour découvrir cette fiction qui laisse espérer un bel avenir pour un film dont les enfants de Bressols resteront les grands ambassadeu­rs.

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Les spectateur­s heureux après la projection

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