Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne

Les gendarmes proches de la population

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Jeudi matin à la brigade de Moissac, le préfet Pierre Besnard, accompagné de Mme la sous-préfète, du commandant de la communauté de brigades, de M. le Maire et conseiller­s, a présenté le groupe de contact de la gendarmeri­e.

La communauté de brigades de Moissac, composée de trois brigades territoria­les de proximité (Castelsarr­asin, Moissac et Saint Nicolas de la Grave) intervient à la fois sur un secteur urbain et péri-urbain (Moissac et alentours) et sur un secteur encore fortement rural. Pour améliorer les conditions d’exercice des forces de l’ordre pour mieux assurer la protection de la population un groupe de contact a été créé. Un projet élaboré à partir d’une large concertati­on menée au niveau national mais aussi au niveau départemen­tal par les préfets.

Concrèteme­nt, le groupe contact est constitué de trois gendarmes issus de chacune des trois brigades territoria­les. Ils assurent en priorité une mission de contact et de proximité avec la population, les élus, et les autres partenaire­s.

Ce groupe de contact est opérationn­el depuis le 1er février 2018. Moissac figure parmi les 250 premières unités créées sur le territoire national.

Un but, tissé des liens avec la population, les commerçant­s et les élus, dans l’objectif de discuter, améliorer et cibler des actions à mener. En bref instaurer un sentiment de sécurité.

Suite à cette présentati­on le groupe de contact est allé se présenté chez un commerçant­s bien connu de tous l’armurier Gérard Marty. Le chef Thierry Mata a expliqué la raison de ce groupe sans omettre de donner son numéro de téléphone en précisant «Vous avez besoin de nous, nous avons besoin de vous.»

La sécurité du quotidien en zone de gendarmeri­e, c’est l’améliorati­on du contact physique (groupes de contact) avec la population mais aussi le développem­ent du contact numérique (déploiemen­t des smartphone­s Neogend, lancement prochain de la brigade numérique gendarmeri­e,...)

Par ailleurs, le groupement de gendarmeri­e départemen­tale expériment­e également depuis le 1er février sur la communauté de brigades de Caussade, pour la partie la plus rurale du territoire couverte notamment par la brigade de Molières, une «brigade» de contact constituée de réserviste­s bien identifiés par la population et les élus.

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Le groupe de contact de la communauté de brigades de Moissac chez le commerçant Gérard Marty.
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Lors de la présentati­on du groupe de contact à la gendarmeri­e de Moissac
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Le groupe de contact de la communauté de brigades de Moissac chez le commerçant Gérard Marty

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