Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne
Fanny Agostini arrivée à bon port
Thalassa, revient ce soir, à 20 h 55 sur France 3, avec un numéro inédit D’ouessant à Saint-malo:
au coeur de la tempête. L’occasion pour Fanny Agostini d’évoquer ses six premiers mois à la tête du magazine de la mer.
Comment se sont déroulés vos débuts ?
Les choses ont été assez rapides. J’ai terminé le 12 juillet sur BFM TV et, le 14, nous partions en tournage pour Thalassa. C’était un peu l’épreuve du feu, mais cela m’a permis de faire appel à des ressources insoupçonnées. Les équipes ont été superbes en m’accompagnant du mieux possible dans cette transition. Il s’agit d’une grande famille, avec des gens présents dans la maison depuis quinze ans, voire plus pour certains. Lorsqu’on intègre un groupe soudé, il faut prendre le temps pour découvrir tout le monde.
Comment cela se traduit-il dans le choix des sujets ?
J’entends parfois dire: cela fait plusieurs années que Thalassa existe, vous allez tourner en rond. Mais nous ne pouvons plus parler de la mer comme il y a vingt ans, les enjeux environnementaux ayant profondément évolué. Il y a donc encore et toujours énormément de choses à dire.
Comment se sont passés ces six mois à la tête de Thalassa ?
Un bilan me semble hâtif car nous ne sommes qu’à la cinquième émission. Attendons la fin de la saison. Même si les choses prennent du temps, elles sont en train de s’installer et de se consolider. Parmi les séquences qui m’ont le plus marquée, je dirais le reportage sur les baleines à bosse en Polynésie.
Propos recueillis par Yannick Sado pour France 3