Mal nommer les choses c'est ajouter au malheur du monde *…

C'est la première fois dans notre histoire où nous sommes confrontés à une situation inimaginable. Nous sommes menacés d'attentats par des terroristes que nous parvenons à identifier, à ficher, à surveiller et même à interroger, mais nous sommes incapables de les empêcher d'agir, soit en les expulsant du territoire, soit en les enfermant. En cela, il faut appeler un chat, un chat, et un terroriste islamiste, un terroriste islamiste. Il existe en France des gens qui n'aiment pas et ne respectent pas notre pays, son identité, son histoire glorieuse. Quand une partie, maintenant non négligeable des résidents de ce pays, peuvent avoir la nationalité française il est bon de constater que certains d’entre eux ne se sentent aucunement Français ! Le terroriste (nationalisé) de samedi à PARIS était répertorié fiché S. et même inscrit au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation islamiste (FSPRT) ; Lui, et bien d'autres encore, refusent ainsi de s'assimiler, comme se sont assimilés durablement et positivement avant eux les descendants d'italiens, de Polonais, de Portugais, d'espagnols. En conséquence, lire encore et encore :"Fiché S ...et naturalisé" devient juste proprement insupportable. Ce supposé suivi, cette obtention galvaudée de la nationalité française, c'est l'etat Français qui est censé le maîtriser. Hélas, force est de constater qu’il ne reste plus que les policiers de terrain, les gendarmes, et nos renseignements territoriaux pour endiguer ces fous assassins. Ils sont nos derniers remparts face à la barbarie. In fine, le plus indigne, c’est qu'ils sont traités avec mépris par nombre d'autres irresponsables nationaux dits…représentatifs… !

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*Albert Camus