Le Petit Journal - du Tarn-et-Garonne

Roger Cavalié en dédicace à Leclerc Sapiac

Pour son nouveau roman « L’école des chagrins »

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Aujourd’hui samedi 2 juin de 10h à 18h, à l’espace culturel de Leclerc Sapiac, l’écrivain montalbana­is bien connu Roger Cavalié présentera et dédicacera son nouveau roman «L’école des chagrins».

Largement inspiré de son expérience, cet ouvrage est le troisième de Roger Cavalié, qui fait suite au Vieux Cartable et à Julien l’insoumis.

Le synopsis

Pour sa première rentrée scolaire, Julien rejoint son poste dans la classe unique d’un village, à une vingtaine de kilomètres de la ferme familiale. Avec Jeanne, son idylle nouée six ans plus tôt, ils ont décidé cette année de mettre leur relation amoureuse en suspens, le temps que se précisent leurs avenirs profession­nels respectifs. Julien a fort à faire, entre des élus, un communiste et un gaulliste, qui se disputent sur fond d’événements en Algérie, la visite du conseiller pédagogiqu­e qui tourne au fiasco, Justine qui tente de le séduire ou encore Jeannine dont il tombe amoureux avant de découvrir que c’est une histoire impossible. La nouvelle rentrée scolaire sera encore plus mouvementé­e : Julien est incorporé à l’école des officiers de réserve de Saintmaixe­nt d’où il ressort souslieute­nant. Le bonheur sera-t-il enfin au rendezvous ?

L’auteur

Roger Georges Cavalié est né en 1938 dans une commune rurale de 300 habitants du Lot-et-garonne. Dès l’âge de 4 ans, il n’échappe pas aux contrainte­s de l’époque : chaque jour de classe, il chausse ses galoches et se rend à pied à l’école communale distante de deux kilomètres de la ferme de ses parents.

A 12 ans, il est admis au concours d’entrée au cours complément­aire de garçons du chef lieu du départemen­t et entre en sixième. A 17 ans, il intègre l’école normale d’instituteu­rs. A sa sortie, et après le service militaire, il occupe un poste dans une classe unique en France métropolit­aine avant d’aller exercer durant huit ans en coopératio­n en Algérie, puis trois ans aux Iles Loyauté, un an à Tadjourah et deux ans à Djibouti.

En 1978, il intègre le corps des inspecteur­s départemen­taux de l’éducation nationale et il est affecté trois ans en métropole avant d’aller goûter à la douceur des alizés des Iles-sous-levent. Enfin, il rejoint le Tarn-et-garonne où il termine sa carrière et prend une retraite qu’il estime bien méritée. Mais c’était sans compter sur son environnem­ent familial et ses amis qui l’incitent à écrire un livre pour le plaisir. C’est ainsi qu’est né « Le vieux cartable », une première oeuvre récompensé­e par le prix du roman au salon du Livre de Mazamet et également le premier prix littéraire au salon de Figeac.

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