Logements étudiants. C’est parti !

Toulouse et Montpellier : dans les deux grandes villes universitaires d’occitanie, pour nombre de futurs étudiants et leurs parents, la quête d’un logement a déjà commencé depuis plusieurs jours, voire semaines. Avec un contexte différent selon l’endroit.

Bien sûr, on n’oublie pas les villes moyennes, et Perpignan en tête, qui accueillent également des étudiants. Mais comparées aux deux métropoles, la pression y est bien moindre lorsqu’il s’agit de trouver un logement pour des (futurs) bacheliers qui se lancent dans des études supérieures.

Si Toulouse est la ville la plus étudiante de la région avec 15 000 jeunes, ce n’est pourtant pas celle où trouver un toit revient le plus cher. Il faut compter en moyenne 443€ pour un studio. En revanche, pour un appartement, les prix s’envolent : 410€ pour un T1 et 520€ pour un T2. Et, Parcoursup oblige, avant même d’avoir passé les épreuves finales du baccalauréat, beaucoup se sont déjà lancés dans la quête du Graal.

A Montpellier il faudra compter une dizaine d’euros supplémentaires pour un studio à 454€.

À Perpignan, pas de panique ! Le parc de studios et de T1 est suffisant pour accueillir les nouveaux étudiants.

Une récente étude montre que le loyer moyen se situe à 360€ pour un studio, 400€ pour un T1 (soit environ 22 m2) et à 450€ pour un T2 (soit environ 40 m2).

Nîmes n’est pas mieux lôti. Il faudra compter environ 370€ par mois pour y louer un studio.

Du côté du Centre régional des oeuvres universitaires et scolaires de Toulouse (Crous), qui gère 10 000 logements dans l’ancienne région Midi-pyrénées (la grande majorité à Toulouse mais aussi Auch, Figeac, Tarbes, Foix, Rodez, etc. ), un numéro spécial est en place (0 806 800 131) du lundi au vendredi, de 9 heures à 17 heures non-stop pour vous renseigner au sujet des bourses ou des logements en résidences universitaires.

Le portail du logement étudiant vous permet aussi de consulter l’offre disponible dans chaque ville.