Partagées entre fraîcheur et sentiment amer..

Commémoration à Lacour de Visa !

Le 11 novembre est dénommé comme étant le “Jour du souvenir”, permettant de ne point oublier que : plus de 1,3 million de Français sont morts, et 4,2 millions d’autres ont été blessés lors de ce conflit atroce que fut la « 1ere guerre mondiale, pour la liberté de notre pays. Chaque ville et village français commémorent ce jour là, le souvenir très douloureux ayant meurtri chaque famille de notre pays. Les monuments portent souvent l’inscription “la commune à ses enfants morts pour la France”. La forte majorité d’entre nous reste attachée à cette célébration de la fin de la 1ere guerre mondiale, certains ayant même en eux, le souvenir d’avoir accompagné jadis un parent «Poilu» lors de cette cérémonie, dans le froid de Novembre et les roulements de tambours poignants. Tous les survivants de cette unique et effroyable odyssée meurtrière sont aujourd’hui disparus, mais il reste les mots, les phrases, les écrits, parfois même un casque, une chaîne ou une paire de chaussures, comme exposés sur une étagère qu’araignées n’ont aucunement le désir d’éviter inexorablement, le souvenir se devant de ne point s’estomper ! Mais pourquoi n’y a-t-il rien de plus honorable dans le monde que le droit de verser le sang innocent ? L’homme est placé plus que jamais bien au dessus de toutes les races d’animaux, doté de mains destructrices n’épargnant rien de tout ce qui vit. Ainsi il tue pour se nourrir, pour se vêtir, pour attaquer, s’approprier, pour se défendre, parfois pour s’amuser voire même pour assouvir quelque passion, en fin de compte il tue pour tuer. Ainsi se généralise le souvenir, passant de monuments à de simples tombes anonymes pour certaines d’entre elles, le vent mettant parfois à bas croix de bois défraîchies, usées elles par les années.

Une population très sensibilisée.

Personnalités se recueillant.

Intervention de M. Albugues

Le maire dépose la gerbe