Le Petit Journal - L’hebdo des Hautes-Pyrénées
Désendettement de la ville
Un objectif plus lointain, ce sera coté route de Toulouse, la dernière entrée à Bagnères-de-Bigorre à rénover où il y aura l’éclairage public à changer, des lignes électriques à enfouir. Pour le moment, sur la création d’un rond-point, nous n’avons pas encore travaillé suffisamment techniquement. Il y aura également un travail important à la Mongie, avec la rénovation du centre administratif. Nous allons continuer les travaux en liaison avec le Syndicat Mixte du Pic du Midi, que nous avons un peu retardés cette année et également en 2019 un aménagement des Services Techniques de la Mongie. Le Stationnement
Un dernier point à souligner, le Stationnement. D’abord nous avons dû changer les parcmètres par obligation, parce qu’il y a des parcmètres nouvelle génération avec ce qu’on appelle « la dépénalisation du stationnement ». Nous avions eu certains parcmètres que nous avons pu adapter et d’autres que nous avons dû changer. C’est donc une mise aux normes qui s’impose aux collectivités qui a un coût relativement impor- tant cette année mais nous étions obligés d’y passer. Ces parcmètres nous permettrons peut-être de mieux gérer le stationnement, nous nous concerterons avec les commerçants puisque cela touche essentiellement le centre-ville, pour bien définir les zones de stationnement et également d’examiner la possibilité d’une heure de stationnement gratuit qui nous a été demandée par plusieurs commerçants.
Un deuxième point sera dans l’immédiat le Kiosque Place Lafayette qui sera nettoyé et qui servira à la communication de la Mairie ainsi qu’être mis à disposition des associations qui travaillerons en étroite collaboration avec le Service Communication de la Mairie. Ac- tuellement, c’est un affichage un peu sauvage fait un peu partout et ce n’est pas toujours très accueillant pour une ville thermale comme Bagnères.
Un point sur la première partie du mandat des 3 et demie années, de 2014 à fin 2017, nous avons désendetté la ville d’approximativement 5 millions d’euros, c’est à dire 20 %de la dette globale que nous avions., ce que dans le contexte actuel est assez colossal. Comment nous y sommes arrivés ? Premièrement en limitant les emprunts malgré les investissements importants que nous avons réalisés et en assurant une gestion sûrement très rigoureuse et c’est seulement à ce prix qu’on pouvait améliorer la situation.