Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aude
Les Piboulards : une époque formidable !
Cela méritait bien un livre !
Pour la petite histoire ... Dans les années 1960, la seule distraction des jeunes était d’arpenter l’avenue, en partant du café de France, poursuivant sur l’avenue Wilson, via le jardin public, ou vice versa. Quelques années plus tard, le mythique bar « chez Yvette » fut le témoin d’autres aventures.
Ah ! Ces Piboulards ! Que d’aventures, de coup de folies, d’encre ils ont fait couler, de bobines ils ont édité.
Et ce nom ! « Les Piboulards » d’où il sort ?
Didier Castan, « l’attaché de presse », le Monsieur communication de la bande me répond « Guy Ferrères, alias « Sissou », n’arrêtait pas de nous parler de «piboules» car il était un fana de champignons”. Et voilà le pourquoi du nom des « Piboulards ». Un peu comme l’histoire de « Farine » un autre personnage légendaire de Lézignan. Ce dernier chapardant des abricots dans un verger et les trouvant « trop farineux », s’est vu affublé à vie du nom de « Farine ». Une spécificité locale d’habiller d’un surnom, celui qui fera écho d’une « anomalie ».
La filmographie des Piboulards
« Du 1er “El Combo en 1972”, suivi de « Rififi au chalet » en 1973, « Le cercueil piégé » en 1974, « L’étrange docteur cerveau » en 1976, « Dimanche à la rivière » en 1977 et « Lulu champion du monde en 1978”. Une filmographie à faire pâlir de jalousie un réalisateur Américain.
La chronique lézignanaise
Avec des différents reportages (cyclisme, rugby, projection au Palais des Fêtes » Les années BD
Par Régis Franc, son premier film « Mauvaise fille » en 1989.
L’espace Gibert à lui aussi accueilli les Piboulards. Exposition photos, diffusion de films.
Les années littératures de Régis Franc.