Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aveyron
"Remettre chacun en responsabilité" (Leclerc)
Les états généraux de l'alimentation, qui figuraient mardi dans la déclaration de politique générale du Premier ministre, peuvent permettre de remettre "chacun en responsabilité", producteurs, transformateurs et distributeurs, a commenté vendredi Michel-Edouard Leclerc, président du groupement E. Leclerc.
Les états généraux de l'alimentation, annoncés durant la campagne présidentielle par Emmanuel Macron pour revoir le partage de la valeur dans l'agriculture, et qui doivent démarrer vers le 20 juillet, "peuvent constituer une formidable opportunité de remettre un peu chacun en responsabilité", selon Michel-Edouard Leclerc. "Aux producteurs, probablement, de dire mieux quel système de production ils veulent développer, aux transformateurs, aux industriels, de mettre en scène d'une autre manière l'offre agricole nationale transformée, et puis aux distributeurs, peut-être, de mieux valoriser pour tenir compte des nouvelles attentes", a-t-il continué.
Quant au contenu de ces états généraux, "pour le moment, c'est un peu le flou", a souligné M. Leclerc. "Je crois qu'il y a des tables rondes qui seront dédiées à la discussion, à la négociation de prix, à la mise en marché, et puis d'autres qui seront plus sur les aspects nutrition, sur les aspects aussi écologie", a précisé le patron du groupement de distributeurs indépendants.
Pour lui, il s'agit d'une occasion "remettre les curseurs qualitatifs à la hausse, et ce sera à cette occasion la manière de mieux rémunérer le producteur. Mais pour ça il faut un grand mouvement collectif (...) c'est en ça que les (états généraux) de l'alimentation peuvent être une grande cause nationale", a-t-il encore indiqué. À l’occasion du premier remaniement du gouvernement d’Édouard Philippe suite aux élections législatives, Stéphane Travert, député de la Manche, est nommé ministre de l’agriculture et de l’alimentation. Il succède ainsi à Jacques Mézard qui, lui, reprend le portefeuille de Richard Ferrand, à la cohésion des territoires.
Le député de la 3e circonscription de la Manche Stéphane Travert a été nommé ministre de l’agriculture et de l’alimentation , mercredi 21 juin 2017 dans le deuxième gouvernement d’Édouard Philippe.
Stéphane Travert a été l’un des premiers députés à se mettre en retrait du parti socialiste. Il s’est rapproché d’Emmanuel Macron lors des débats sur la loi portée par l’ancien ministre de l’économie devenu depuis président de la République. Il était l’un des rapporteurs du texte à l’Assemblée nationale, puis il est devenu l’un des porte-parole d’Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle.
Né le 12 octobre 1969 à Carentan (Manche), ce fils d'imprimeur, diplômé d'une école de commerce et d'un BTS d'action commerciale, a travaillé quelque
Ventilateurs, brumisateurs, asperseurs, complémentation minérale, humidification de la ration... Comment aider vos vaches laitières à supporter la canicule? Le rumen est un véritable radiateur interne qui atteint sa température maximale entre quatre et cinq heures après l'ingestion. Ainsi, une primipare haute productrice produit deux fois plus de chaleur qu'une vache tarie.
Pour éliminer les calories et la vapeur d’eau, la vache réagit en accélérant sa respiration : de 20 à 25 respirations par minute en période temps dans l'industrie avant de se lancer en politique. Membre du Parti socialiste depuis 1988, ce père de deux enfants était devenu chef de cabinet de Philippe Duron en 2006, lorsque celui-ci était président du Conseil régional de Basse-Normandie. Il l'a ensuite suivi à la mairie de Caen en 2008. Il a été premier secrétaire de la fédération de la Manche entre 2002 et 2003, puis à partir de 2005. Il a été également membre du bureau national du Parti socialiste. Depuis 2010, il était conseiller régional de Normandie.
En 2012, il avait gagné la troisième circonscription de la Manche, traditionnellement à droite. Au début de son premier mandat, il a parfois voté avec les "frondeurs" PS sur de grands textes économiques ou budgétaires. normale, cette fréquence augmente jusqu’à 50 par minute quand la température dépasse les 25 °C et peut même dépasser les 100 respirations par minute en cas de stress thermique. L’efficacité de cette méthode est conditionnée par la température ambiante (TA) et le taux d’humidité relative (HR) de l’air. Si ce taux d’humidité est élevé, la vache ne peut plus éliminer correctement l’humidité respiratoire.
La sensibilité individuelle d’une vache au stress thermique dépend de nombreux facteurs : race, stade de lactation, niveau de production, composition de la ration, logement.
Une jeune vache prim'holstein, haute productrice (> 9.000 litres) en début de lactation sera ainsi très sensible : sa propre production de chaleur est par exemple deux fois plus intense que celle d’une vache tarie.
Les conséquences d’un stress thermique sont multiples : avec des effets visibles immédiats, et d’autres beaucoup moins, mais qui auront des conséquences à plus long terme.