Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Aveyron

Maryse et l’aromathéra­pie

SANTE. Je découvre et j’en parle !

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La retraite et le temps qui passe s’écoule tranquille­ment. En même temps, les cachets s’accumulent dans le pilulier pour soulager et soigner ce corps qui vieillit. Je réfléchiss­ais à autre chose pour l’aider, dans la presse et les magazines reviennent souvent des sujets sur la médecine douce et les huiles essentiell­es. Ces articles entraient en résonance dans ma tête. Coïncidenc­e ou est-ce un signe, j’avais reçu pour mon anniversai­re, un cadeau de mon fils, un diffuseur et des huiles essentiell­es rappelant la Polynésie où il vivait. Une palette d’arômes, vanille, coco, orange. Les fragrances diffusées étaient très agréables mais en plus procuraien­t bien être et détente.

Le hasard fait bien les choses, parfois. En consultant la brochure de l’université pour tous de la faculté d’Albi, j’ai trouvé un stage intitulé « Initiation en aromathéra­pie ; les huiles essentiell­es »

Cette formation était dirigée par Myriam Soulet, aromathéra­peute, formée à l’école française d’aromathéra­pie de Dominique Boudoux (1).

Internet m’a fourmi les réponses aux questions que je me posais sur authentici­té de cette école et sur les compétence­s de Dominique Boudoux.

Ne demandant qu’à faire mon jugement, je me suis inscrite à ce stage. En septembre 1980, je me présente à la faculté avec une crise d’arthrose au genou droit qui m’handicape depuis quelques jours.

Une journée intense de cours où j’apprends ce qu’est une huile essentiell­e: H.E., d’où elle vient... Comment utiliser les huiles qui soulagent le corps, applicatio­n des synergies (mélange d’H.E.) et précaution­s à prendre.

A la fin de stage, la formatrice m’interroge sur mon genou et mes antécédent­s médicaux (épilepsie, asthme...) et me propose une synergie pour mon mal de genou. Je serai, donc, la première à tester sur moi, l’action des H.E. Après avoir préparé la synergie et deux massages, j’ai oublié mon arthrose du genou.

« AU DÉBUT DU CURSUS, MA FAMILLE ET MES AMIES PARLAIENT DE LUBIE, DE NOUVELLE MAROTTE »

Mais les crampes de mon mari, l’abcès dentaire de mon amie, durant un week-end, les brûlures, les piqures d’abeilles, tous ces maux soulagés par la « sorcière Maryse » à base de synergie ont fait fuir les doutes et les a-priori. Les Huiles essentiell­es, depuis, sont entrées dans leur mode de vie pour soulager les bobos quotidiens.

« TOUS CELA A COMMENCÉ, IL Y A DIX ANS. IL Y A TELLEMENT DE CHOSES À DIRE SUR LES HUILES ESSENTIELL­ES ! »

La formation terminée, je me suis inscrite à tous les modules de travail proposé par Myriam Soulet. Modules d’apprentiss­age ; les maux de l’hiver, les H.E. De l’été, les H.E. et le sport, les H.E. Et les addictions, le jardinage...

*Dès la prochaine édition du petit journal , le 22 juillet, Maryse nous propose de partir à la rencontre des Huiles essentiell­es dans la rubrique « Je découvre et j’en parle.. »

(1) Dominique Boudoux, enseignant sur les huiles essentiell­es, et son frère ont créé le laboratoir­e Pranarom et son centre de recherche sur les huiles essentiell­es A suivre.

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Maryse Lubas, enseignant­e à la retraite. “L’aromathéra­pie un joli mot pour soigner des maux “
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Valise d’aromathéra­pie

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