Le Petit Journal - L'hebdo local de l'Hérault
Craintes sur une re-fermeture des bars
Une des établisfermeture sements dans certaines gions « fait des possipartie bilités », a le minismenacé tre de la Santé, dans une interview au Parisien. Une épée de Damoclès sus de plus de 40 000 débits de boissons en France. La semaine dernière, un nouveau foyer épidémique a été découvert à Quiberon (Morbihan). Son origine se trouverait dans des soirées dansantes prohibées, nisées dans une boîte de nuit de la station balnéaire reconvertie en bar. tissement est pris très au sérieux par des mél'Union tiers et des industries de l'hôtellerie (Umih), pal syndicat de la sion.
fêtes clandestines exLes plosent
Pas question cependant de renforcer le protocole sanitaire, à l'image de la Belgique où il est à présent obligatoire de donner son numéro de téléphone pour boire une pinte de bière. « Ce n'est pas afnécessaire, firme Laurent Lutse, dent de l'Umih cafés, series, établissements de nuit. Le port du masque suffit. »
« Les autorités pourraient davantage contrôler le pect des gestes barrières. Il faut que les mauvaises tiques soient sanctionnées », réclame François de Pena.
Pour l'Umih, les débits de boissons offrent malgré tout la meilleure protection pour faire la fête. « La majorité des établissements se plient aux règles. Certains gérants ont même ché des agents de sécurité et imposé le lavage des mains à l'entrée », plaide Laurent Lutse. « Rien ne prouve que l'épidémie part à cause des soubars, tient le dirigeant du syndicat.
L'organisation s'inquiète en outre de la multiplication des fêtes privées ou clandestines. des vilDans las à Saint-Tropez, dans le bois de Vincennes, dans l'Aude ou en ronne, des centaines de personnes se rassemblent pour danser sans brer d'un masque et des gestes barrières. « On fère taper sur des établissements que l'on peut fermer, constate, amer, Laurent Lutse. Ces événements quent de créer davantage de foyers épidémiques dont il sera plus difficile de monter les chaînes de contamination. »