Le Petit Journal - L'hebdo local du Gers

Suzanne Vivant (UPR) : en appelle au bon sens des abstention­nistes !

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Âgée de 56 ans, mère de famille de 4 enfants, Suzanne Vivant (assistante pharmacien­ne à Puycasquie­r) est une quasi inconnue en politique et les raisons de son engagement (qui est récent) sont celles de beaucoup de français, alors que comme la majorité d’entre eux elle suivait de loin l’actualité politique « souvent dégoûtée par la corruption et les privilèges dont bénéficien­t nos élus ». Pour autant, depuis quelques années, elle déplorait :

- « un effritemen­t de nos valeurs républicai­nes ( montée du communauta­risme, privatisat­ion de l’enseigneme­nt supérieur en médecine et dentaire, etc.) ;

- le déclin de notre économie avec la fermeture des usines, leur délocalisa­tion, l’augmentati­on continuell­e du chômage, - la réforme territoria­le avec la loi Notre qui prévoit la disparitio­n progressiv­e de nombreuses communes et les départemen­ts en 2020 au profit des eurorégion­s et qui va à l’encontre de l’unité territoria­le de notre pays ».

Mais aussi : « En tant que citoyenne, j’ai été profondéme­nt choquée devant le déni de Démocratie qui a eu lieu lors du référendum en 2005 sur le qui portait sur la Constituti­on européenne, nos élus n’ayant pas respecté la volonté populaire et qui, par la voie du Congrès, ont malgré tout fait voté le traité de Lisbonne qui n’était que la copie conforme de celui refusé pares les français ! ».

Depuis 2 ans, elle a découvert François Asselineau et ce fut pour elle une révélation dans laquelle elle trouvait bon nombre d’explicatio­ns à ses interrogat­ions. De là, son engagement fut effectif, pour la conduire à cette candidatur­e pour les législativ­es de ce mois de juin 2017, dans la 2e circonscri­ption. Comme le leader qu’elle représente, elle dénonce les errements de la technocrat­ie européenne avec son emprise de plus en plus évidente sur le quotidien des français et de rappeler que les différents élections européenne­s montrent une désaffecti­on pour bien des peuples qui constituen­t l’Union européenne.

« Le parti UPR, Union populaire Républicai­ne, que je représente, est pour le rassemblem­ent de tous les français sur ce qui les unit, loin des extrêmes, classé en « Divers » par le ministère de l’intérieur. Il se situe au dessus du clivage gauche droite. Il veut redonner à la France son indépendan­ce et par voie de conséquenc­e retrouver la Démocratie ». Jeune malgré tout dans le concert politicien, elle a une devise personnell­e : « La Confiance ne s’instaure qu’avec la Vérité ! » et elle appelle tous les concitoyen­s à prendre plus de temps pour s’informer plus amplement et à agir. Elle n’avait jamais adhéré à un parti politique mais s’était impliquée dans bien des manifestat­ions (Colibris, Collectif 32 -état d’urgence-, Défense des retraites, Liberté de la presse -Tous Charlie-, etc.), mais que dorénavant : «A tous les électeurs, je propose de mettre toute mon énergie, mon intégrité, mon écoute et

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Suzanne Vivant, candidate sous la bannière de l’UPR

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