Le Petit Journal - L'hebdo local du Gers

Paroles de comptoirs

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Après cet arrêt brutal imposé à l’économie nationale pour situation exceptionn­elle due à l’épidémie du coronaviru­s, nos commerces à nous, sur le plan local ont eux aussi été affectés car et tout le monde de le reconnaîtr­e «C’était une situation vraiment inédite ! »

«Comme tout le monde, ce fut pendant de 2 mois et demi l’arrêt total de toute activité me concernant. Un temps occupé à faire du nettoyage, du réassort, etc.».

« Beaucoup d’inquiétude surtout pour l’après, pour la reprise. Ceci étant dit, je n’ai pas de personnel, pas de charges financière­s telles que encours de prêts et j’ai moi aussi bénéficié des 1500 e d’aides allouées par l’État ».

« Plutôt bonne dès le début, puis un ralentisse­ment, mais, depuis un mois environ je dois dire que pour moi, la reprise est là ! Avec mes locaux, beaucoup d’habitués et quelques touristes qui arrivent ».

Le quotidien ; les élections bien sûr, et en fait, les clients ont très peu parlé de la Covid-19 ! Il n’empêche que nous essayons de faire respecter les consignes sanitaires toujours en vigueur. Quant à moi, il est évident que je respecte ma clientèle, donc pas de souci ! ».

« Pour moi aussi, 2 mois et demi d’arrêt total d’activités (bar et PMU). Cela a eu un gros impact sur les finances ! On a en profité pour faire du nettoyage, du réaménagem­ent pour redonner des couleurs et un nouveau souffle à l’établissem­ent. Dans l’entreprise, il y a 1 salarié et nous avons bénéficié des 1500 € par mois accordés par l’État ».

« Pas évident au tout début du déconfinem­ent : les clients se sentaient freinés par les mesures sanitaires imposées (masques, gel, etc.). En ce moment, la reprise semble revenue, les consignes, malheureus­ement un peu oubliées de la part des clients. Ces consignes sont toujours en vigueur et pour certains c’est très contraigna­nt, cela reste un frein, c’est bien dommage ! ».

« Comme avant! Mais on parle très peu de la Covid, beaucoup considèren­t, peut-être à tort, que c’est fini et le quotidien reprend le dessus ! ».

« On a du, comme tout le monde se soumettre à cet arrêt brutal d’activité ! Pour nous cela a été assez compliqué à bien des niveaux : un arrêt brutal, même si on peut le comprendre, ce n’est pas facile ! Comme chez bien d’autres, nous en avons profité avec notre équipe de 5 salariés, de faire des peintures, du réaménagem­ent en salle et en cuisine. Chez nous, le personnel était en chômage partiel et me concernant j’ai une droit à une « aide se solidarité ».

« Les 3 premières semaines ont été compliquée­s côté restaurati­on, mais il y a maintenant une bonne reprise, nous sommes en train de revenir à notre « vitesse de croisière», mais voila, l’été sera pauvre : plus de manifestat­ion locale (Carnaval, Cuivro’Foliz, et on ne sait pas grand-chose concernant le Festival des étoiles) sur la ville. Ce sera dur pour l’après-saison estivale ».

« Au début, ce fut la Covid-19, et puis la vie locale a repris le dessus. C’est un peu comme si on voulait oublier cet épisode de l’épidémie !Restent bien sûr les consignes sanitaires que nous essayons de faire respecter et que nous même dans l’équipe nous respectons (masque au service, désinfecti­on des tables, etc.).

Nous avions déjà évoqué l’incidence de la crise sur l’entreprise qui, avec ses 10 salariés en avait, elle aussi, pâti suite à l’arrêt brutal de l’activité comme ses collègues.. « Pour autant, ces semaines d’arrêt, nous en avons profité avec l’équipe en alternance, alors qu’elle avait été placée en chômage partiel, à refaire bien des aménagemen­ts pour préparer l’après-Covid 19 ! Aujourd’hui, l’équipe est sur le pont pour à nouveau faire face et ce avec le sourire, malgré les consignes sanitaires que nous respectons car un 2e confinemen­t serait terrible pour tout le monde ! ».

« Ceci dit, je ne peux pas me plaindre pour ce qui est de la reprise des activités, nous avons connu un bon mois de juin et l’on s’était donné les moyens pour respecter les clients vis-à-vis des consignes sanitaires. Les clients sont là, ils avaient hâte de retrouver leurs habitudes. Quant aux touristes, le démarrage est plus lent, mais je reste optimiste!».

« Cela a tourné autour de la gestion de la crise, bien sûr, les municipale­s, et l’on a aussi parlé du rugby, de la reprise : on a hâte de voir l’équipe remaniée pour faire une très belle saison ! ».

 ??  ?? « Au Galop », on a repris les courses !
« Au Galop », on a repris les courses !
 ??  ?? Christine en a aussi profité pour faire « un break » !
Christine en a aussi profité pour faire « un break » !
 ??  ?? Pour Jérôme « On se doit de rester optimistes ! ».
Pour Jérôme « On se doit de rester optimistes ! ».
 ??  ?? « Une année sans festivités, dur-dur ! »
« Une année sans festivités, dur-dur ! »

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