Le Petit Journal - L'hebdo local du Lot

Une dédicace chez Vocabull’ART

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Régine Laprade, médecin à la retraite, signe là son neuvième roman avec « Les coquelicot­s de Tipasa ». Un écrivain connu et reconnu, qui écrit des romans basés sur des faits réels ou des personnage­s qu’elle a connu. Elle sera présente dans le cadre des dédicaces qu’organise la galerie Vocabull’ART de Lionel Lefèvre place des consuls à Martel.

« L’établi d’auteurs » permet ainsi aux auteurs de faire des signatures de leur roman tous les mercredis de 10 h à 13 h et les samedis de 10 h à 13 h. Samedi 11 juillet l’écrivain Régine Laprade sera présente à la galerie de 10 h à 13h

PJ Parlez-nous de vous ? R.L : Régine Poisson née le 4 mars 1946 en Périgord, dans la maison où ma mère et ma grand-mère ont vu le jour. Cette maison qui s’appelle La Prade, a donné mon nom d’écrivain. J’ai passé mon enfance et mon adolescenc­e à Casablanca, au Maroc, que j’ai quitté en 1962 pour entamer à Bordeaux mes études de médecine

PJ Votre dernier roman « Les coquelicot­s de Tipasa » est sorti récemment. Vous nous en parlez un peu plus ?

R.L : Ce récit historique réunit plusieurs personnage­s et génération­s avec comme fil conducteur la guerre d’Algérie. Zineb-Ginette qui, écartelée entre deux cultures, deux identités, regrettera sa vie durant l’époque du bonheur. Georges Pélo, pied-noir d’origine espagnole, époux de Ginette. Il nous explique au fil des événements, le contexte de la guerre d’Algérie, nous fait rencontrer des personnage­s d’importance capitale. Fernande Meyer, veuve d’un colon. Sans enfant, elle s’éprend d’amitié et même d’affection pour Brigitte, la fille de ce jeune couple qui lui offre le bonheur de devenir grand-mère par procuratio­n. Brigitte et Éric, les enfants de Ginette. Il a fallu se rendre à l’évidence ; quitter l’Algérie et entamer une autre vie en France qui ne fut pas toujours un long fleuve tranquille

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Une auteure qui écrit avec le coeur

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