Signe extérieur de distinction
Altitude. A force de vouloir rouler plus haut que les autres, SUV, 4 x 4 et monospaces sont en passe de créer une nouvelle uniformité. Heureusement, la berline classique n’a pas dit son dernier mot. Mieux, elle renouvelle ses codes pour se distinguer des haut-perchées en abaissant son pavillon et en se donnant des allures de sportive. Elancée. Chez Audi, cette tendance s’appelle Sportback. La voiture adopte le profil d’un coupé à quatre portes afin de disposer de deux vraies places à l’arrière, voire d’une troisième de secours. Sans se départir de son aérodynamisme (Cx de 0,25), dû notamment à sa silhouette élancée soulignée par ses portes sans encadrement, l’A5 Sportback possède un hayon et un vrai coffre. Ecrans. L’A5 reprend la planche de bord impeccablement finie de l’A4. A partir du niveau de finition S Line, la voiture dispose de deux écrans : un de 12,3 pouces devant le conducteur, qui peut ainsi personnaliser son combiné d’instruments, un autre de 8,3 pouces sur la console centrale, bizarrement toujours pas tactile. Le petit volant à méplat inférieur participe au caractère sportif du modèle. Quattro. Très maniable lorsqu’elle dispose de la direction à démultiplication variable proposée en option, l’A5 se montre aussi vigoureuse avec le 2.0 TFSI essence, parfaitement secondé par une boîte double embrayage à 7 rapports réactive. La douceur fait aussi partie de son registre grâce à une suspension désormais très confortable. Enfin, la transmission Quattro dote l’A5 Sportback d’un niveau de sécurité et d’une polyvalence que sauront apprécier les professionnels