DS 7 E-Tense, l’électrique au quotidien
CO2. DS ouvre la voie de l’électrification pour PSA, avec une version hybride rechargeable du SUV DS 7 Crossback baptisée E-Tense. Cette technologie est favorable à la fois au client, qui échappe ainsi à une lourde fiscalité (malus et taxe sur les véhicules des sociétés), et au constructeur pour atteindre les objectifs de réduction d’émission de CO2 imposés par l’Europe. Recharge. Avec ses moteurs électriques à l’avant et à l’arrière, le DS 7 voit le nombre de ses roues motrices passer de 2 à 4 et sa puissance de 225 à 300 chevaux. Mieux, l’E-Tense gagne au passage une autonomie zéro émission officielle de 58 kilomètres qui lui permet de se comporter comme une voiture purement électrique au quotidien, à condition d’être rechargée régulièrement, opération réalisable en deux heures avec la WallBox (500 euros hors pose, en option) ou en un peu plus de sept heures sur une prise domestique. Premium. Les matériaux utilisés (cuir nappa, métal gravé par guillochage) hissent le DS 7 à la hauteur des références premium de la catégorie, voire l’en distinguent (horloge BRM, en option). Toutefois, l’ajout du moteur électrique arrière interdit l’installation d’une roue de secours galette (remplacée par un kit anticrevaison) sous le plancher du coffre, et l’imposante batterie placée sous la banquette arrière réduit la contenance du réservoir d’essence de 62 à 43 litres, au détriment de l’autonomie thermique. Hybride. Le DS 7 E-Tense démarre par défaut en mode zéro émission. Les 109 chevaux du moteur électrique arrière apparaissent alors suffisants en ville et pour de courtes incursions sur l’autoroute avec une vitesse de pointe de 135 km/h. Au-delà, lorsque la batterie est déchargée – généralement entre 30 et 40 kilomètres – ou en cas de forte accélération, le DS7 E-Tense redevient automatiquement un hybride de 300 chevaux capable de passer de 0 à 100 km/h en moins de six secondes et de faire le plein d’essence en quelques minutes
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Il existe environ 30 chapeaux certifiés de Napoléon. Il y a en circulation et dans les musées assez de mèches de cheveux du plus connu des empereurs français pour constituer plusieurs perruques. Mais des paires de bottes qui lui ont appartenu de manière certaine, on n’en connaît que deux. L’une d’elles est montrée au musée des Beaux-Arts de Montréal, l’autre est mise aux enchères à Drouot avec une estimation de 50 000 euros. L’origine de ces « bottes à l’écuyère » est confirmée par le fait qu’elles appartenaient au général Bertrand, dernier compagnon de l’Empereur à Sainte-Hélène. Bonaparte mesurait 1,69 mètre et chaussait du 40. Le 29 novembre, Hôtel Drouot, www.binoche etgiquello.com.